Voyez quelles sources d’énergie Google, Amazon et Microsoft ont choisies pour leurs centres de données IA
Le Journal de Montréal
Les marchés ont réagi très différemment à la victoire électorale de Donald Trump. Les titres technos, cryptos et IA ont tous fait d’importants gains, les sociétés d’énergie aussi, mais celles des énergies renouvelables ont brutalement chuté et c’est pourtant de ces dernières dont les centres de données auront besoin pour alimenter leurs gourmands serveurs en énergie.
Dopées par la perspective d’un assouplissement réglementaire favorable aux monnaies numériques qui pourrait être mis en place par Donald Trump, à son retour à la Maison-Blanche, les cryptomonnaies ont atteint des sommets hier en Bourse. Celui-ci entend faire des États-Unis «la capitale mondiale du bitcoin et des cryptomonnaies».
Pour les centres de données, plus le nombre de puces pour former ces modèles IA est élevé, plus les résultats de ces modèles deviennent intelligents.
Concrètement, les grappes de processeurs graphiques fonctionnent sur des centaines de milliers de puces. Et toutes ces puces exigent beaucoup d’énergie électrique, laquelle doit provenir de sources telles que le nucléaire, l’éolien, le solaire, l’hydroélectrique (sans émissions de CO2) ou le charbon, le pétrole, le gaz ou encore les déchets combustibles (grands émetteurs de CO2).
Selon le site Quartz, Microsoft, qui s’est fixé pour objectif en 2020 d’être «neutre en carbone» à la fin de la décennie, a déclaré en mai que ses émissions de carbone étaient supérieures de près de 31% à ce qu’elles étaient au moment où elle a pris cet engagement. Cette augmentation est principalement due à la construction de centres de données ainsi qu’à l’achat de matériel, comme les semi-conducteurs et les serveurs.
Même constat chez Google, ses émissions sont en hausse de 48% depuis 2019 et de 13% en 2023 à cause de ses centres de données, malgré la promesse d’atteindre des émissions nettes nulles d’ici 2030.
D’ici la fin de la décennie, les centres de données pourraient consommer jusqu’à 9% de toute l’électricité aux États-Unis, soit plus du double de la consommation actuelle, selon l’Electric Power Research Institute.
Avec l’IA, la consommation est nettement plus élevée: selon une étude de Goldman Sachs, une requête sur ChatGPT nécessite presque 10 fois plus d’électricité qu’une recherche sur Google.
Ce n’est pas la première qu’on vous parle de Ringbrothers, ce préparateur du Wisconsin bien connu pour ses transformations musclées de voitures anciennes, et ce ne sera certainement pas la dernière. Le Salon de la SEMA à Las Vegas est l’un de ses moments forts de l’année et l’édition 2024 qui se déroule présentement ne fait pas exception.
Kia profite du SEMA pour présenter deux véhicules concepts qui ont le même objectif : l'aventure. Le premier, qui est aussi le plus classique, est le EV9 ADVNTR (pour Adventure). Il est basé sur le VUS électrique à trois rangées de sièges de Kia, mais avec une allure différente. Avec ses parties avant et arrière légèrement revues, sa suspension rehaussée (3 pouces/7,6 cm) et ses pneus destinés au hors route, il est capable de quitter les sentiers battus mais sans trop s'éloigner du véhicule initial.
Après les Lamborghini Huracán Sterrato et Porsche 911 Dakar, pourquoi pas une Toyota GR86 pour les amateurs de conduite hors route? C’est probablement ce que s’est dit le constructeur japonais, bien que sa création soit purement un concept destiné au Salon de la SEMA à Las Vegas, qui se déroule cette semaine.
Sitges, Espagne – Une puissance de 631 chevaux et un couple de 627 livres-pied. Voilà ce que crache le V8 biturbo de 4 litres du RS Q8 Performance, qui devient de facto le véhicule à moteur thermique le plus puissant de l’histoire d'Audi. Par rapport au RS Q8 traditionnel, cette nouvelle variante Performance offre des prestations relevées d’un cran, ainsi qu’un style plus typé. En Europe et ailleurs, ces deux variantes du VUS de performance seront vendues, mais seul le RS Q8 Performance sera commercialisé en Amérique du Nord à compter de 2025.