[VIDÉO] Clodine Desrochers devient collaboratrice à «Sucré Salé»
Le Journal de Montréal
La reine de la jungle de la deuxième saison de Sortez-moi d’ici!, Clodine Desrochers, devient collaboratrice à Sucré Salé pour l’été.
Clodine était d’ailleurs l’invitée de Mélanie Maynard, lundi, pour parler de son expérience au Panama. Les deux femmes ont bu des bulles pour célébrer son arrivée au sein de l’équipe, ont discuté de tout et de rien et fait du yoga chèvres.
Clodine a parlé du concept de ses entrevues estivales à Sucré Salé, dans lesquelles elle sortira ses invités de leur zone de confort (thème donc lié à Sortez-moi d’ici!).
«Ça se peut qu’on mange des bibittes, ça se peut que je fasse un cours de lutte. Il y a des artistes qui voudraient aller à Sortez-moi d’ici!. Ça va être comme un pré test. S’ils ne sont pas capables de faire ce que je propose, ça veut dire qu’ils ne seraient pas nécessairement bons pour la jungle», a-t-elle expliqué.
En sortant de sa zone de confort, que découvre-t-on? «On a beaucoup plus de guts qu’on pense intérieurement. Pareil comme quand il nous arrive une grande épreuve dans la vie. Après on se demande: “comment j’ai fait?”. Je pense qu’il ne faut pas se sous-estimer», a-t-elle ajouté.
Le collaborateur de Sucré Salé Dave Morissette accueillait pour sa part son complice de Sortez-moi d’ici! Philippe Laprise, lundi. Il a été question de son spectacle Pourquoi pas et de prévention des feux de forêt. Les deux grands amis coaniment dès lundi soir, à 20h, à Évasion, Sortez-moi d’ici!... mais pas tout de suite, rendez-vous dans lequel ils vivent une foule d’aventures. D’ailleurs, Clodine Desrochers est l’une de leurs invités. Elle a sauté en parachute dans un des épisodes.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.