Rétrospective 2023: les potins de nos vedettes
Le Journal de Montréal
Comme chaque année, 2023 a apporté son lot d’heureux événements, de grandes joies et de belles émotions. Malheureusement, elle a aussi saupoudré de tristes événements au cours de ses 12 mois. Bien des artistes québécois peuvent en témoigner.
ANTOINE PILON ET CATHERINE BRUNET
La complicité entre ces anciens amoureux est naturelle. Leur participation à l’émission Le chalet et à la comédie Entre deux draps sont de beaux exemples. Devant les photographes, ils étaient toujours bien assortis. Alors qu’on croyait qu’ils vieilliraient ensemble, ils ont mis un terme à leur idylle après huit ans... mais pas à leur grande amitié.
DEBBIE LYNCH-WHITE ET MARINA GALLANT
L’histoire d’amour entre la comédienne et son ex-flamme a commencé en 2015. Deux ans plus tard, elles ont uni leurs destinées. Ensemble, elles ont déferlé sur différents tapis rouges. Mais le temps a transformé l’amour de cette relation ouverte en amitié. Pour celle qui a incarné la Bolduc, la monogamie ne représente pas un véritable intérêt.
NATHALIE SIMARD ET LÉVIS GUAY
Alors que la magie de Noël commençait à s’installer, la chanteuse a annoncé que son mariage des 15 dernières années avait pris fin. Même si elle a qualifié la fin de son histoire d’« étape difficile » à vivre, elle s’est dite « heureuse » et « libérée ». Longuement réfléchie, cette séparation s’est faite dans le respect et a été mutuelle.
ÉRIC LAPOINTE ET JUDITH BÉRARD
Le rockeur et la chanteuse n’ont pas crié leur amour sur tous les toits, préférant savourer des moments intimes loin des regards indiscrets. L’amour de la musique leur a fait vivre une période agréable, car c’est durant la production de l’album Je marche dans ma vie, d’Éric Lapointe, qu’ils ont été très proches.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.