Libérée de sa tutelle, Britney Spears annonce être enceinte
Le Journal de Montréal
Cinq mois après avoir été libérée par la justice de la tutelle qu’exerçait son père en raison de ses troubles psychologiques, la superstar américaine de la pop Britney Spears, 40 ans, a annoncé lundi qu’elle était enceinte de son troisième enfant.
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«J’ai fait un test de grossesse... Euh eh ben... J’attends un bébé», a écrit sur Instagram la chanteuse révélée adolescente par plusieurs tubes planétaires, dont «...Baby One More Time», en 1998.
Bientôt un nouveau bébé, donc, après que la justice américaine à Los Angeles a décidé le 12 novembre de lui rendre le contrôle sur sa vie personnelle en mettant fin à cette tutelle exercée principalement par son père Jamie Spears.
Une mesure prise en 2008 en raison de troubles psychologiques et que la vedette a qualifiée d’«abusive».
«Traumatisée»
Britney Spears avait frappé les esprits en racontant en juin au tribunal de Los Angeles qu’elle était «traumatisée» par cette tutelle qui l’empêchait de se faire retirer son stérilet, alors qu’elle souhaitait avoir d’autres enfants.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
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Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.