Le chanteur de Smash Mouth est décédé
Le Journal de Montréal
Le chanteur du groupe pop alternatif Smash Mouth, Steve Harwell, est décédé à l'âge de 56 ans à Boise, dans l'Idaho, rapportent plusieurs sources.
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C'est l'agent de l'artiste, Robert Hayes, qui a confirmé la nouvelle, notamment au média Rolling Stone, déclarant qu'il était entouré de ses proches et qu'il a rendu l'âme «paisiblement».
«Steve Harwell était un véritable original américain. Un personnage plus grand que nature qui s'est envolé dans le ciel comme une bougie romaine, a déclaré Hayes dans une déclaration à CNN. Il faut se souvenir de Steve pour sa concentration inébranlable et sa détermination passionnée à atteindre les sommets de la célébrité pop.»
Au cours de la carrière de Harwell, Smash Mouth a été nommé aux Grammys dans la catégorie de la meilleure performance pop d'un duo ou d'un groupe pour «All Star», une chanson qui a ensuite atteint le statut de culte après son apparition sur la bande originale du film d'animation «Shrek», en 2001.
Harwell était à la retraite depuis deux ans.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
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