4e saison de «Chanteurs masqués»: les tournages sont amorcés et il y aura un spécial Noël
Le Journal de Montréal
Les tournages de la quatrième saison de Chanteurs masqués viennent de s’amorcer avec le nouvel animateur Sébastien Benoit aux commandes.
L’autre nouvelle venue, Mélissa Bédard, a donc commencé à analyser les indices et la voix des 13 artistes qui se cachent dans les costumes cette année, aux côtés des vétérans enquêteurs Sam Breton, Anouk Meunier et Stéphane Rousseau.
Jusqu’ici, un seul costume a été dévoilé à Sucré Salé, celui de la Licorne.
L’émission numéro un au Canada, toutes langues confondues, selon les données de Numeris, comptera 11 épisodes cette saison, suivis d’un spécial en coulisses et, grande nouveauté, d’un épisode de Noël qui réunira des personnages marquants des trois premières moutures.
C’est la metteuse en scène Geneviève Dorion Coupal qui crée les numéros avec son équipe. Elle aura recours à la réalité augmentée pour en mettre plein la vue aux fidèles du rendez-vous familial.
Produits par Productions Déferlantes, en collaboration avec Québecor Contenu, les épisodes de la quatrième saison de Chanteurs masqués seront diffusés cet automne sur TVA, en plus d’être disponibles sur TVA+. Les saisons 2 et 3 se trouvent d’ailleurs sur la plateforme.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
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Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.