«Les flocons sont réunis!»: Serge Thériault de retour aux côtés de Claude Meunier à la radio
Le Journal de Montréal
Après avoir fait une apparition remarquée dans la toute dernière scène des nouveaux épisodes de La petite vie dans la peau de «Môman», son personnage iconique, Serge Thériault se racontera avec son complice de toujours Claude Meunier dans une émission spéciale d’ICI Première, la veille de Noël.
Les deux amis associés à jamais au succès de La petite vie, ainsi qu’à Paul et Paul et à Ding et Dong se confieront au microphone de Stéphane Laporte dans le rendez-vous Les flocons sont réunis, qui sera diffusé le dimanche 24 décembre, à 17h, comme un cadeau de Noël pour ceux qui s’ennuient de Serge Thériault.
On se rappelle que ce dernier a quitté la vie publique il y a quelques années en raison d’enjeux de santé mentale et de dépression.
Michel Barrette, Yvon Deschamps, André-Philippe Gagnon, Marc Hervieux, Marc Messier, Michel Rivard et Guylaine Tremblay participeront aussi à cette émission radiophonique de 120 minutes, qui proposera entre autres des numéros marquants du parcours de Meunier et de Thériault. Les deux amis n’ont pas partagé une même tribune depuis 20 ans environ.
Rappelons que le titre Les flocons sont réunis! est extrait de la chanson C’est Noël, composée par Claude Meunier et Michel Rivard. C’est Noël a été interprétée pour la première fois dans les années 1970 par Meunier et Thériault dans un spectacle du groupe Paul et Paul.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.