«Anticosti»: Rose-Marie Perreault et Olivier Gervais-Courchesne seront les têtes d’affiche de ce nouveau thriller
Le Journal de Montréal
Rose-Marie Perreault et Olivier Gervais-Courchesne seront les têtes d’affiche d’une nouvelle série québécoise.
Les deux comédiens se donneront la réplique sur le plateau de la série Anticosti, qui sera présentée à Série Plus l’automne prochain.
Il s’agira d’ailleurs de la toute première série de fiction tournée sur l’île d’Anticosti.
Le thriller, dit boréal, mettra également en vedettes Hélène Florent, Anick Lemay, Sylvie Moreau, Camille Felton, Frédéric Millaire-Zouvi et Rémi-Pierre Paquin.
Ancrée dans un cadre naturel à la fois rude, sauvage et austère, la série raconte l’histoire de Justine Gamache (Rose-Marie Perreault), qui revient sur l’île d’Anticosti pour la première fois en sept ans avec le désir de connaître ses véritables origines.
La construction d’un nouveau complexe hôtelier de luxe menacera l’écosystème de l’île et causera bien des remous dans la petite communauté jusque-là tissée serrée. Mais tout bascule quand une insulaire est retrouvée sans vie au pied d’une falaise, incident rapidement qualifié de suicide par la Sûreté du Québec.
Justine refusera ce constat et fera équipe avec le garde-chasse Michael St-Germain (Olivier Gervais-Courchesne) pour entreprendre une enquête citoyenne.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
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