Cayden Lindstrom n’a pas joué un seul match depuis que les Blue Jackets de Columbus l’ont repêché au quatrième rang, l’été dernier. Un autre bœuf de l’Ouest et espoir très en vue, Roger McQueen, est sur la touche depuis le 11 octobre, impuissant et incapable de mousser son jeu durant son année de repêchage.
Vous avez vu la victoire du Canadien à Dallas, jeudi soir? C’est comme si cette sacrée équipe n’avait plus rien à son épreuve. Les Stars ont frappé tôt dans le match, le Tricolore a répliqué tout de suite. La troupe de Martin St-Louis trouve des façons de gagner. On dit que c’est le signe d’une bonne équipe.
Le hockey est un petit univers. Tout le monde se connaît sans nécessairement avoir des liens directs. Les contacts se font souvent par des tiers. C’est de cette façon que Marc Bureau a été sollicité pour transmettre son expertise en matière des mises en jeu aux joueurs du Canadien et du Rocket de Laval pour le reste de la saison.
Est-il trop tôt pour tirer cette conclusion ? Je serais surpris qu’un dirigeant des Canadiens l’affirme haut et fort, mais les performances de l’équipe parlent d’elles-mêmes dernièrement et la place des Canadiens au classement démontre que si la fameuse reconstruction n’est pas terminée, elle en est à ses derniers balbutiements.
Au moment de s’entretenir seul à seul avec Jean-Charles, mercredi dernier à Brossard, Kent Hughes connaissait par cœur le nombre de matchs que le Canadien de Montréal avait à jouer d’ici la date limite des transactions du 7 mars: 22. Le DG du CH a tôt fait d’utiliser cet argument lorsqu’on lui demande de se ranger dans le camp des acheteurs ou des vendeurs.