Compostelle et le chemin Mozarabe: comment on a survécu à notre longue randonnée sous le soleil brûlant du sud de l’Espagne
Le Journal de Montréal
Ce printemps, pendant quatre semaines, ma compagne et moi avons marché sous un soleil caniculaire sur le chemin Mozarabe dans le sud de l’Espagne.
En passant par les grandes villes de Grenade, Cordoue, Mérida et Séville, nous avons franchi une distance de 450 kilomètres – à notre rythme, sans trop se presser, en évitant les chaleurs torrides de l’après-midi.
Un pas à la fois, nous avons découvert une région étonnante avec un riche héritage historique romain, musulman et catholique ainsi qu’une économie dominée par la culture des oliviers aux prises avec des problèmes criants liés à la crise climatique.
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Premiers pas
Une des variantes des chemins de Compostelle, le chemin Mozarabe prend sa source dans la ville d’Alméria, sur le bord de la Méditerranée, pour ensuite traverser les régions de l’Andalousie et de l’Estrémadure jusqu’à la ville de Mérida. De là, les randonneurs ambitieux peuvent emprunter la Via de La Plata, chemin plus fréquenté, qui monte vers le nord de l’Espagne jusqu’à Santiago de Compostelle, but ultime de milliers de pèlerins chaque année.
Nous avions des objectifs plus modestes. Nos premiers pas, nous les avons effectués dans la ville de Grenade, site de l’Alhambra, joyau de la culture musulmane andalouse.
Pour la première fois en près de 25 ans, les Hells Angels sont prêts à céder le contrôle de plusieurs de leurs territoires de vente de stupéfiants à des gangs de trafiquants, tant à Montréal qu’à Québec, afin de conclure une trêve au violent conflit qui fait rage dans ce milieu depuis presque deux ans.
C’est un itinéraire légendaire qui continue de fasciner de nombreux navigateurs et explorateurs dans le monde. Bienvenue à bord de l’Ocean Endeavour d’Adventure Canada pour une expédition exceptionnelle dans le mythique passage du Nord-Ouest, dans les eaux glacées de l’Arctique, du Groenland jusqu’au Nunavut.
Gaydon, Angleterre — Jaguar vit actuellement sur le respirateur artificiel. Avec une image qui bât de l’aile et des ventes symboliques. À preuve, à peine 1 105 véhicules de la marque ont été écoulés depuis le début de l’année au pays, incluant 851 F-PACE. Le seul modèle qui demeurera sur le marché pour 2026, puisque Jaguar a déjà cessé la production de la F-TYPE depuis un an, de même que celle de la berline XF, du E-PACE, et du VUS électrique I-PACE. Ceux-ci demeurent sur le marché pour 2025, mais les concessionnaires ne feront essentiellement qu’écouler les stocks restants.