«N'écoutez pas votre conseiller financier!»: 2024 sera l'année du plus grand krach de notre vie, prévient un économiste
Le Journal de Montréal
Plusieurs économistes québécois sont optimistes quant au fait que l’année 2024 verra se rétablir quelque peu l’inflation et se stabiliser les taux d’intérêt; dans la mesure toutefois où l’économie québécoise – et canadienne – est fortement indexée sur celle des États-Unis, les prévisions des économistes américains peuvent servir d’indicateur, et l’un d’eux dresse un portait particulièrement inquiétant de la prochaine année.
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L’économiste Harry Dent prédit en effet, à contre-courant de nombre de ses confrères, que l’année 2024 sera particulièrement difficile sur l’économie.
«Depuis 2009, l'impression monétaire et les déficits sont 100 % artificiels et sans précédent; 27 000 milliards de dollars sur 15 ans, pour être exact. C'est sans précédent, 100 % artificiel, ce qui signifie que nous sommes dans une situation dangereuse», a-t-il déclaré à Fox News Digital.
«Je pense que 2024 sera la plus grande année de crise que nous connaîtrons de notre vivant», a-t-il ajouté, sans ambages.
M. Dent a justifié sa prédiction en avançant que les marchés sont surévalués et les dépenses de relance excessives.
«Je suis celui qui prie pour un krach alors que tout le monde ne le fait pas. Nous devons revenir à la normale et envoyer un message aux banques centrales», a-t-il poursuivi.
Pour la première fois en près de 25 ans, les Hells Angels sont prêts à céder le contrôle de plusieurs de leurs territoires de vente de stupéfiants à des gangs de trafiquants, tant à Montréal qu’à Québec, afin de conclure une trêve au violent conflit qui fait rage dans ce milieu depuis presque deux ans.
C’est un itinéraire légendaire qui continue de fasciner de nombreux navigateurs et explorateurs dans le monde. Bienvenue à bord de l’Ocean Endeavour d’Adventure Canada pour une expédition exceptionnelle dans le mythique passage du Nord-Ouest, dans les eaux glacées de l’Arctique, du Groenland jusqu’au Nunavut.
Gaydon, Angleterre — Jaguar vit actuellement sur le respirateur artificiel. Avec une image qui bât de l’aile et des ventes symboliques. À preuve, à peine 1 105 véhicules de la marque ont été écoulés depuis le début de l’année au pays, incluant 851 F-PACE. Le seul modèle qui demeurera sur le marché pour 2026, puisque Jaguar a déjà cessé la production de la F-TYPE depuis un an, de même que celle de la berline XF, du E-PACE, et du VUS électrique I-PACE. Ceux-ci demeurent sur le marché pour 2025, mais les concessionnaires ne feront essentiellement qu’écouler les stocks restants.