Grand Prix d’Azerbaïdjan: Pérez pour la passe de... deux?
Le Journal de Montréal
Et si le principal rival de Max Verstappen pour la course au titre en Formule 1 n’était plus Charles Leclerc, mais bien son coéquipier chez Red Bull, Sergio Pérez ?
La question se pose depuis que le Mexicain a remporté le mythique Grand Prix de Monaco il y a deux semaines et aussi depuis qu’il a tout récemment prolongé son contrat avec l’écurie autrichienne jusqu’en 2024.
Voilà certes un élément de motivation supplémentaire pour Pérez qui, avant d’aborder la prochaine étape du championnat, disputé dimanche dans les rues de Bakou, est troisième au classement cumulatif et n’accuse qu’un retard de six points derrière Leclerc et de 15 derrière le Néerlandais.
Pour la petite histoire, Pérez n’a pas apprécié à Barcelone cet ordre, et ce, à deux reprises, de céder le premier rang au champion du monde en titre pour offrir à son partenaire une chance de gagner.
Après une discussion animée avec son patron Christian Horner à l’issue de cette escale en Espagne, le Mexicain a été rassuré et a répondu par son éclatante victoire dans les rues de Monte-Carlo, au profit d’un arrêt hâtif aux puits de ravitaillement.
De bons et de mauvais souvenirs
Or, Pérez peut aborder le Grand Prix d’Azerbaïdjan avec optimisme. C’est à cet endroit qu’il avait accédé à la première marche d’un podium de Formule 1 pour la deuxième fois de sa carrière en juin 2021.
Quoique, faut-il l’avouer, il a profité de la déveine de Verstappen qui, alors en tête, a été victime à haute vitesse de l’éclatement de son pneu arrière gauche qui mènera à son abandon au 47e tour. Furieux, on l’a vu sortir de sa voiture et donner un formidable coup de pied au pneu amoché.
Cet incident incitera la direction de la course à déployer le drapeau rouge pour forcer les pilotes à immobiliser leur monoplace dans la zone des puits de ravitaillement.
Personne à 16 ans ne devrait mesurer 7 pi et peser 273 lb. C’est le cadeau, parfois empoisonné, que la nature a donné au défenseur Alexander Karmanov, timide géant au potentiel incalculable ayant quitté la Biélorussie pour poursuivre son développement aux États-Unis. Il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus grand hockeyeur au monde, selon les données que nous avons pu colliger.