Se réapproprier sa liberté
Le Journal de Montréal
Auteur de nombreux ouvrages à succès qui traduisent sa passion pour la philosophie, la psychologie et le développement personnel, Laurent Gounelle s’interroge sur la liberté et la perte de liberté, sur la manipulation collective et sur le fait que les peurs des gens sont parfois utiles à certains, dans son nouveau livre, Le Réveil.
Tom, un jeune ingénieur, est un jour aux prises avec une situation inquiétante dans son pays. Une situation qui sème la peur au cœur de la population.
Dans ce contexte inédit, les gens qui sont au pouvoir adoptent différentes mesures très contraignantes qui mettent en jeu la liberté des gens.
Tom, pris dans la tourmente de tous ces événements, s’interroge davantage après qu’un ami grec lui rappelle que certaines personnes peuvent trouver un avantage à semer la panique et la peur dans une population.
Laurent Gounelle écrit que Tom est dans un pays en guerre contre la mort... Un roman inspiré par la pandémie ? « Tout à fait. Ou plutôt par la réaction des politiques de différents pays à cette pandémie. La pandémie est une chose. Elle existe réellement. Il y a vraiment un virus qui circule et c’est un virus mortel, même si le taux de mortalité est faible. Compte tenu du fait que le virus a été très contagieux, ça fait quand même beaucoup de morts dans une année », explique-t-il. « Moi-même, j’ai été touché dans ma famille, comme à peu près toutes les familles. »
En revanche, il a été très surpris des mesures prises, qui lui semblaient « assez déconnectées de la réalité ». « Ça m’a interrogé. Je me suis dit : pourquoi ces mesures qui n’ont pas toujours de sens ? J’avais suivi ces mesures au Canada [et] je me souviens qu’il y avait des choses aussi surprenantes qu’ici, en France. »
Le temps a passé, il s’est documenté et a tiré ses conclusions personnelles sur le pouvoir des gouvernements, sur le rôle des médias et l’effet de la diffusion en boucle de mauvaises nouvelles.
« Plus on joue avec les peurs des gens, plus les gens sont prêts à renoncer à leur liberté. C’est ça, le point de départ du roman. Selon moi, la liberté d’un être humain, c’est pas quelque chose d’anodin. C’est quelque chose qui touche à l’essence de l’être humain. »
Absence de débat
Jaguar dévoilait il y a quelques jours un trio d’images de sa future berline sport, lourdement camouflée. Une voiture 100% électrique, que nous mettons actuellement à l’essai et qui sera commercialisée vers la fin de 2026, constituant dès lors la seule voiture de la marque. Il faut savoir que d’ici là, Jaguar abandonnera tous les modèles actuellement commercialisés, ne conservant pour 2026 que le F-PACE, lequel sera lui aussi mûr pour la retraite après ce dernier millésime.
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