Ode aux bistros français!
Le Journal de Montréal
Je suis le premier à aimer sortir de ma zone de confort avec d’audacieuses (mais maîtrisées) créations de restaurants hip du moment. Toutefois, apportez-moi un tout aussi maîtrisé poireaux vinaigrette, des escargots baignant dans un beurre persillé dont le plaisir est décuplé lorsque vient le temps de nettoyer la cavité du ramequin avec un morceau de pain, un onglet à la cuisson médium saignante dévoilant une belle caramélisation, débordé par des frites croustillantes et une mayonnaise maison, un boudin noir laissant derrière lui ses effluves d’épices, une sole meunière couverte d’un beurre noisette à la couleur bien ambrée... Et pour terminer, un riz au lait, un millefeuille ou une profiterole qui nous charme par son contraste chaud-froid... Et je serai aux anges.
Voici quelques adresses où succomber à ces classiques français.
Bouillon Albert
À ma connaissance, le nouveau restaurant du Groupe Grinder (Grinder, Makro, Boucherie Grinder) est le tout premier concept de «bouillon français» à Montréal. Né dans les années 1800 à Paris, le concept de bouillon était d’offrir des repas qualitatifs à prix très abordables, misant sur des produits humbles, additionnés à la simplicité des techniques. Le Bouillon Albert ira donc dans ce sens: entrées à moins de 15$ (poireaux vinaigrette, escargots persillés, salade niçoise, tartare de bœuf), plats à moins de 30$ (sole meunière, ravioles du Dauphiné au comté, boudin noir, onglet-frites), ainsi que des desserts aussi sous la barre des 10$ où le millefeuille, le riz au lait et les profiteroles sont à l’honneur. Le développement des recettes, leur exécution et la constance ont été remis entre les mains des chefs d’expérience S’Arto Chartier-Otis, Jérémie Marcille et Fernando Lopez Jiménez. On s’y voit pour un bouillon arrosé d’un quart de litre à 15$?
bouillonalbert.ca
4177, rue Saint-Denis, Montréal
Jaguar dévoilait il y a quelques jours un trio d’images de sa future berline sport, lourdement camouflée. Une voiture 100% électrique, que nous mettons actuellement à l’essai et qui sera commercialisée vers la fin de 2026, constituant dès lors la seule voiture de la marque. Il faut savoir que d’ici là, Jaguar abandonnera tous les modèles actuellement commercialisés, ne conservant pour 2026 que le F-PACE, lequel sera lui aussi mûr pour la retraite après ce dernier millésime.
En lisant l’autobiographie posthume de Lisa Marie Presley, on peut affirmer sans problème que sa vie a été tout sauf banale. À la manière d’un journal intime, la fille unique et l’héritière du «King» du Rock & Roll raconte tout depuis son enfance à Graceland, sa dépendance à la drogue en passant par sa carrière, ses amours, le suicide de son fils et ses multiples extravagances.
Le VUS le plus vendu au pays, comme on l’a déjà écrit, fera patienter les consommateurs qui attendent sa nouvelle génération jusqu’à l’année modèle 2026. Le Toyota RAV4 2025 est maintenant en vente chez les concessionnaires, sans changements mais avec une légère hausse de prix pour les 16 versions qui composent toujours la gamme.