Harry Rosen et la question de l’élégance masculine
Le Journal de Montréal
Harry Rosen vient de s’éteindre à 92 ans.
On avait tous déjà entendu son nom d’une manière ou d’une autre, car il l’avait donné à l’entreprise qu’il avait fondée – une entreprise consacrée à l’élégance masculine, dont il était devenu le symbole au Canada, et peut-être même un peu au Québec.
Car dans notre pays où la tradition de l’art tailleur n’est pas particulièrement vivante, un homme qui décidait un jour de bien s’habiller était presque inévitablement appelé à y mettre les pieds – jusqu’à l’arrivée de Surmesur, ces dernières années, une entreprise de Québec qui occupe aussi bien ce créneau.
Son décès nous donne l’occasion d’aborder la question de l’élégance masculine, plus importante qu’il n’y paraît.
Elle l’est en soi: l’homme qui rompt avec le débraillé vestimentaire propre à l’adolescence envoie le signal qu’il vient d’entrer dans l’âge adulte, et qu’il aura désormais le souci du paraître.
Il faut être sot pour croire que les apparences ne comptent pas: l’être humain est un être incarné, qui ne se présente pas au monde comme pur esprit.
Faut-il ajouter qu’un beau costume, bien taillé, peut améliorer un physique difficile, et redonner confiance à celui qui le porte.
L’essayiste français Hugo Jacomet, qui joue un grand rôle dans la réanimation de ce qu’il appelle la tradition sartoriale, et qui connaît un grand succès sur internet où il apprend aux hommes comment renouer avec la figure du gentleman, aime rappeler que l’élégance est une forme de politesse, de respect d’autrui. Et il a raison.
On pourrait ajouter que c’est un plaisir, et contrairement à ce qu’on pense, un plaisir bien moins coûteux qu’on ne le croit, et plus écologique que ce qu’on pourrait appeler la mode jetable.
Jaguar dévoilait il y a quelques jours un trio d’images de sa future berline sport, lourdement camouflée. Une voiture 100% électrique, que nous mettons actuellement à l’essai et qui sera commercialisée vers la fin de 2026, constituant dès lors la seule voiture de la marque. Il faut savoir que d’ici là, Jaguar abandonnera tous les modèles actuellement commercialisés, ne conservant pour 2026 que le F-PACE, lequel sera lui aussi mûr pour la retraite après ce dernier millésime.
En lisant l’autobiographie posthume de Lisa Marie Presley, on peut affirmer sans problème que sa vie a été tout sauf banale. À la manière d’un journal intime, la fille unique et l’héritière du «King» du Rock & Roll raconte tout depuis son enfance à Graceland, sa dépendance à la drogue en passant par sa carrière, ses amours, le suicide de son fils et ses multiples extravagances.
Le VUS le plus vendu au pays, comme on l’a déjà écrit, fera patienter les consommateurs qui attendent sa nouvelle génération jusqu’à l’année modèle 2026. Le Toyota RAV4 2025 est maintenant en vente chez les concessionnaires, sans changements mais avec une légère hausse de prix pour les 16 versions qui composent toujours la gamme.