C’était un 11 juillet au Festival d’été de Québec: Billy Joel et ses classiques au clair de lune
TVA Nouvelles
S’il fallait établir une liste de toutes les soirées parfaites dans l’histoire du Festival d’été, celle durant laquelle Billy Joel, le Piano Man en personne, est venu chanter tous les succès de son répertoire, en 2014, y trouverait une place de choix.
C’était la première fois de sa vie qu’il donnait un concert à Québec, le temps était doux, la lune était pleine et brillante, le public captif et enthousiaste.
Tout était au beau fixe, sauf pour un détail, que les médias ont appris quelques jours plus tard.
Au lieu de rester quelques jours à Québec pour profiter de la ville, comme il avait prévu le faire, la vedette new-yorkaise n’a fait qu’un aller-retour parce que sa maman, Rosalind, vivait ses dernières heures. Elle a finalement rendu l’âme deux jours après le spectacle sur les Plaines, à 92 ans.
Malgré tout, Billy Joel, âgé de 65 ans à l’époque, avait livré la marchandise comme un vrai professionnel devant les dizaines de milliers de personnes rassemblées devant lui.
Parfaitement secondé par une troupe de musiciens aguerris, le Piano Man avait amorcé la soirée avec un premier classique, l’inspirante My Life, succulent hors-d’œuvre d’un menu qui allait être gargantuesque.
The Entertainer, New York State of Mind, Scenes From An Italian Restaurant, pensez à un des nombreux succès de Billy Joel et il y a de bonnes chances que nous l’ayons entendu sur les Plaines.
Vrai, il n’avait pas fait Honesty et Just The Way You Are, mais il était interdit de se plaindre le ventre plein.
Autant la foule que l’artiste ont passé du bon temps. «Ça fait 50 ans que je fais ce foutu job et c’est la première fois que je viens ici», a même échappé Billy Joel, en scrutant les festivaliers et la lumière rouge clignotante du défunt macaron.
Vincent-Guillaume Otis parvient à nous faire rapidement oublier Patrick Bissonnette de District 31. Non pas que l’on peut (ou que l’on veut) le chasser de notre mémoire, mais dans Les Armes, la nouvelle série qui ramène le comédien au petit écran après deux ans d’absence, il plonge dans un tout autre univers, celui des forces armées.
Rose-Aimée Automne T. Morin a testé le shibari, l’art japonais d’attacher des gens, différents scénarios de réalité virtuelle pour faciliter le traitement de l’aversion sexuelle (une phobie ou un dégoût de la sexualité) et a participé à un match d’impro dans un club échangiste pour la nouvelle saison d’Au-delà du sexe.