Linda Evangelista «défigurée irrémédiablement»
Le Journal de Montréal
La top model Linda Evangelista a annoncé être «défigurée irrémédiablement» par un traitement esthétique qui a mal tourné il y a cinq ans, justifiant ainsi son retrait des projecteurs et de la vie publique.
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«Je me suis retrouvée, comme l'ont décrit les médias, méconnaissable», a écrit l'ancien mannequin de 56 ans, dans un message destiné à ses plus de 900 000 abonnés sur Instagram.
La Canadienne a expliqué avoir suivi un traitement amincissant qui a produit exactement l'effet inverse qu'escompté: au lieu d'une réduction de masse graisseuse, elle a subi une multiplication de cellules adipeuses.
«Cela m'a laissée défigurée irrémédiablement, malgré deux interventions chirurgicales (censées être) réparatrices, douloureuses et ratées», a écrit l'icône des années 1990, qui fut l'un des tops models les mieux payés au monde aux côtés de stars comme Naomi Campbell ou Claudia Schiffer.
Comme autres conséquences, l'échec de ce traitement «a non seulement détruit mon gagne-pain, mais m'a aussi plongée dans un cycle de longue dépression, de profonde tristesse et dans l'abîme de la détestation de soi», confie l'ancienne vedette des défilés de haute couture.
Linda Evangelista, qui précise vivre désormais en «recluse», a été victime d'un effet secondaire rare de la cryolipolyse, une technique permettant normalement de redessiner une silhouette en exposant au froid des amas de graisse localisés.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
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Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.