Laine trouve une nouvelle façon de se faire aimer Laine trouve une nouvelle façon de se faire aimer
TVA Nouvelles
À chaque match qui passe, Patrik Laine s’attire les éloges de ses nouveaux partisans. Lundi soir, c’est en marquant le but qui a fait la différence lors de la séance de tirs de barrage que le Finlandais y est parvenu.
On n'était pas venu pour une période de jeu supplémentaire entre le Canadien et les Ducks, deux équipes de fond de classement. D'ailleurs, on se serait bien passé de ces cinq minutes qui se sont déroulées presque exclusivement en territoire neutre. Mais le tir de Laine valait la peine de patienter tout ce temps. Je pense que Lukas Dostal se demandait encore si la rondelle était entrée dans le but lorsque Cole Caufield s'est élancé à son tour. Ces deux buts, jumelés aux deux arrêts de Samuel Montembeault, ont permis au Tricolore de l’emporter 3 à 2.
Mine de rien, la formation montréalaise vient de gagner ses trois derniers matchs ayant nécessité un bris d’égalité. De quoi insuffler une bonne dose de confiance à une formation qui en a besoin.
Certains diront que cette victoire a été acquise contre une formation qui en arrache autant que le Tricolore. Néanmoins, elle a permis d’observer une certaine forme de caractère chez les troupiers de Martin St-Louis.
Disons que la première période n’augurait rien de bon. Oui, le Tricolore a ouvert la marque. Mais il s’est également passé 15 mins 45 s sans que les locaux obtiennent le moindre tir au but.
Rarement a-t-on pu assister à une course aussi trépidante que cette saison pour le premier rang du repêchage de la Ligue nationale de hockey. Cette lutte folle fera l'objet d'un dossier spécial que le TVASports.ca vous présentera au cours de la semaine à venir alors que trois joueurs passeront sous le miscroscope.
GAINESVILLE | C’est un mardi, en milieu de journée, au stade de basketball des Gators sur le superbe campus de l’Université de la Floride. Je suis installé aux abords du court, l’esprit plongé dans mon ordinateur portable. La voix grave typique d’un géant me fait sursauter. «Salut, c’est Olivier Rioux!» Bien assis, mon regard se tourne vers le haut, encore vers le haut, toujours vers le haut. Voilà qui promet pour ma rencontre avec celui qui a été reconnu il y a trois ans par le livre Guinness des records comme le plus grand adolescent au monde.
Mentionner dans la même phrase le nom de Lane Hutson et ceux de Cale Makar et Quinn Hughes, ce n’est pas se bercer d’illusions. Le défenseur du Canadien n’a que 20 ans et 28 matchs à son actif dans la LNH, mais déjà, il figure cette saison aux côtés de ses deux homologues élites dans plusieurs catégories défensives.