Hommage à un signaleur routier mort au travail
Le Journal de Montréal
De nombreuses personnes se sont rassemblées samedi matin afin de rendre hommage à un signaleur routier, mort au travail il y a deux semaines.
Signaleurs, famille et amis se sont réunis à Saint-Jérôme afin de former un cortège funèbre pour Maxime Forget, mort écrasé par une rétrocaveuse le 21 août dernier alors que son père se trouvait sur le même chantier.
«C’était un bon jack. C’était quelqu’un qui savait où il s’en allait. Ce n’était pas quelqu’un d’endormi, il connaissait bien son métier. C’est un accident bête, malheureusement. Ça prendrait plus de formation en mesure de chantier, près des machineries», a mentionné Éric Laflamme, président de l’Association regroupant les installateurs et les signaleurs du Québec.
Ce dernier a également laissé entendre qu’un manque de formation de la main-d’œuvre des chantiers pourrait avoir contribué à l’accident ayant mené à la mort de Maxime Forget.
«Ça prendrait des formations de signaleurs plus évoluées, aussi parce que les signaleurs sont garochés souvent à eux-mêmes», a-t-il précisé au TVA Nouvelles.
Des représentants syndicaux ont profité de l’événement pour dénoncer les comportements violents de certains automobilistes envers les signaleurs.
La présidente du Conseil du trésor, Sonia Lebel, a assuré, mardi en fin d’après-midi, que les deux parties allaient s’asseoir à la table de négociation «dans les prochains jours» avec pour objectif de délier l’impasse entre la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) et le gouvernement caquiste.
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