Les experts surveillent la propagation des maladies et la résistance des bactéries Les experts à l’affût un peu partout Les antibiotiques : indispensables et tenus pour acquis La surveillance citoyenne, un concept avec le vent dans les voiles
Le Journal de Montréal
Surveillance, épandage vaccinal, intervention ciblée ; des experts demeurent à l’affût des maladies déjà connues qui pourraient entraîner de lourdes répercussions si elles venaient à se développer, tant au Québec qu’à l’échelle mondiale.
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«Il y a certaines maladies qu’on peut contrôler, mais il y en a d’autres qu’on surveille de près parce qu’il pourrait y avoir des conséquences pour la santé humaine ou les élevages», explique Ariane Massé, biologiste pour le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs.
Des laboratoires, des universités, des ministères et l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) se partagent cette lourde tâche de surveillance.
L’objectif des chercheurs: détecter rapidement l’apparition d’une maladie pour la contrôler avant qu’elle prenne de l’expansion.
«Les maladies connues, on les surveille déjà, ajoute Julie Ducrocq, conseillère scientifique spécialisée à l’INSPQ. Reste à voir ce qui est inconnu. On ne peut pas échantillonner tous les animaux de la terre pour voir ce qu’ils ont individuellement».
Pour la même raison, il n’est pas toujours facile de dresser un juste portrait de la présence d’un virus, d’une bactérie ou autre.
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