«Je ne comprends pas que Nick Suzuki, le capitaine, n’a pas appris le français en cinq ans!»
TVA Nouvelles
Une disette de 31 ans sans championnat, sept exclusions en 10 saisons. Il y a bien longtemps que le Canadien n’a pas été surnommé les «Glorieux» ou la «Sainte-Flanelle». Afin que l’équipe retrouve ses lettres de noblesse, l’auteur du livre Le CH et son peuple propose que ses vedettes s’expriment en français.
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«Je ne comprends pas que Nick Suzuki, le capitaine, n’a pas appris le français en cinq ans!»
C’est un anglophone qui dit ça. Brendan Kelly. Un Écossais ayant déménagé à Montréal à l’âge de 5 ans et ayant grandi dans un environnement anglophone. À 16 ans, il a décidé d’apprendre sérieusement le français parce qu’il voulait «comprendre la culture québécoise».