
Une rivalité entre les Sénateurs et le Canadien? À Ottawa, on pense pas mal plus aux Maple Leafs.
Le Journal de Montréal
Ce qui semblait se destiner à être un match de quatre points, avec une place en séries éliminatoires à la clé, aura une signification quelque peu différente, mardi soir, lorsque les Sénateurs rendront visite au Tricolore.
La troupe de Travis Green se pointera au Centre Bell avec une priorité de six points sur le Canadien. Si, bien sûr, elle garde toujours un œil dans le rétroviseur, elle est davantage concentrée sur qui se passe devant elle.
Une victoire à Montréal permettrait aux Sénateurs de se replacer dans la course pour le deuxième et le troisième rang de la division Atlantique, avec en prime, une possible série contre les Maple Leafs de Toronto en première ronde
D’ailleurs, dans la capitale fédérale, on est pas mal plus excité par cette possibilité que par des affrontements contre le Tricolore.
Néanmoins, on est bien au fait du défi que représente l’équipe de Martin St-Louis. Jusqu’ici, le Canadien a eu le meilleur dans les deux affrontements entre les deux rivaux cette saison, dont le dernier remonte à deux jours après la clôture de la Confrontation des 4 nations.
Le Tricolore l’avait alors emporté 5 à 2, à Ottawa.
«Nous n’étions pas à notre mieux lorsque nous les avons affrontés. Nous avions des joueurs blessés», a laissé entendre Green, aux journalistes présents à l’entraînement des Sénateurs.
En raison de l’absence de quelques attaquants, dont Brady Tkachuk, Green avait dû déployer une formation à 7 défenseurs et 11 attaquants.
Cette fois, par contre, tout le monde y sera. D’ailleurs, il s’agira de la première visite du cadet des Tkachuk depuis la foire lancée par son frère et lui, en compagnie de J.T. Miller, lors du match entre les États-Unis et le Canada.

Un père et ses deux filles se trouvent en pleine bataille contre leur association de hockey mineur. Celle-ci aurait décidé de rétrograder des joueuses pour assurer la viabilité d’une équipe débutante en plus de refuser catégoriquement de leur permettre de jouer ailleurs et de rembourser leurs frais d’inscription. Se sentant lésées et laissées pour compte, elles ont perdu tout plaisir dans le sport. Si bien, qu’elles ont décidé d’accrocher leurs patins.

L’art d’effectuer des transactions n’est pas donné à tous les directeurs généraux. Et même pour les plus rusés, un taux de succès de 100% est impossible à obtenir. Dans l’histoire du Canadien, certains trocs ont impliqué des joueurs dont on avait sous-estimé le développement, des vétérans rendus au bout du rouleau ou des joueurs vedettes dont le retour fut loin d’être à la hauteur.

Le Canadien doit-il échanger David Savard ou non? Ce dilemme circule abondamment à quelques jours de la date limite des transactions dans la LNH. En fait, la vraie question à se poser est: que rapporterait Savard, sur le marché, et est-ce que ce retour vaudrait vraiment la peine? On a tenté de trouver une réponse.

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