
Le meilleur buteur québécois de l'histoire ébahi par le tour de force d’Alex Ovechkin
Le Journal de Montréal
Les records sont faits pour être battus, même ceux de Wayne Gretzky. Enfin pas tous, puisqu’il en détient encore 55 sur les 61 qu’il possédait à la fin de sa carrière. Or, à ce moment-là, son record de 894 buts semblait inatteignable.
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Jaromir Jagr, qui jouait dans la Ligue nationale depuis neuf ans, représentait le candidat le plus plausible capable d’abaisser cette marque. Il a toutefois commencé à perdre de sa régularité dans les années qui ont suivi, puis, en 2008, il mettait les voiles pour la KHL, où il est resté trois ans.
Quant à Alex Ovechkin, il ne comptait alors que trois saisons à son palmarès dans la LNH. On n’avait pas commencé à évaluer ses chances de devancer Gretzky, même s’il marquait à un rythme vertigineux.
Partir à la chasse du record du 99, c’était comme escalader l’Everest. L’exercice consiste en un lot de difficultés et d’imprévus. Ovechkin pratiquait un style casse-cou et on se demandait s’il pouvait connaître une longue carrière en continuant à appliquer des mises en échec en quantité industrielle.
On disait qu’il finirait peut-être comme Eric Lindros, mais non. Il faut croire qu’il avait la tête et le corps plus solides.
À moins d’une blessure, justement, les astres sont alignés pour qu’il double Gretzky cette saison. En maintenant son rythme actuel de 0,67 but compté par match (33 buts en 49 rencontres) cette saison, il inscrirait 11 buts au cours des 17 matchs restant au calendrier régulier.
Ça le mènerait à 897 buts.
Marcel Dionne, qui s’y connaît en la matière, accorde tout le mérite qui revient à Ovechkin.

L’art d’effectuer des transactions n’est pas donné à tous les directeurs généraux. Et même pour les plus rusés, un taux de succès de 100% est impossible à obtenir. Dans l’histoire du Canadien, certains trocs ont impliqué des joueurs dont on avait sous-estimé le développement, des vétérans rendus au bout du rouleau ou des joueurs vedettes dont le retour fut loin d’être à la hauteur.

Le Canadien doit-il échanger David Savard ou non? Ce dilemme circule abondamment à quelques jours de la date limite des transactions dans la LNH. En fait, la vraie question à se poser est: que rapporterait Savard, sur le marché, et est-ce que ce retour vaudrait vraiment la peine? On a tenté de trouver une réponse.

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