
Il y a Patrick Roy... et les autres: notre palmarès des 25 pires échanges dans l'histoire du Canadien
Le Journal de Montréal
L’art d’effectuer des transactions n’est pas donné à tous les directeurs généraux. Et même pour les plus rusés, un taux de succès de 100% est impossible à obtenir. Dans l’histoire du Canadien, certains trocs ont impliqué des joueurs dont on avait sous-estimé le développement, des vétérans rendus au bout du rouleau ou des joueurs vedettes dont le retour fut loin d’être à la hauteur.
Voici donc les 25 pires transactions de l’histoire du Canadien.
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Échangé à l’Avalanche en retour de Justin Barron et d’un choix de 2e tour.
Pour l’instant, le Canadien n’a pas obtenu l’ascendant dans cette transaction. Justin Barron n’a pas été en mesure d’éclore. Par contre, le choix de deuxième tour a déjà bien servi puisqu’il a permis au Tricolore de devancer son droit de parole et de sélectionner Michael Hage. Un jour, cette transaction pourrait donc se retrouver sur le côté des bonnes.
Échangé aux Ducks en retour de Brett Festerling et d’un choix de 5e tour.
Dans l’art d’effectuer une transaction pour rien, celle-ci vient en tête de lice. Festerling a à peine joué 16 matchs à Hamilton. Lapierre est allé se morfondre en Californie avant d’atteindre la finale de la Coupe Stanley avec les Canucks.
Acquis avec un choix de 5e tour des Flames en retour d’un choix de 1er tour et d’un choix de 2e tour.

Le superbe début de saison de Félix Auger-Aliassime s’est poursuivi, vendredi à Dubaï. Pour une troisième fois cette saison, le Québécois a atteint la finale et il sera samedi en quête de son titre le plus prestigieux de la campagne et sera en quête d'un premier titre ATP 500 sur surface dure extérieure.