
Slafkovsky apprend à canaliser sa colère: «Parfois, les choses ne vont pas comme je veux sur la glace et je perds le contrôle»
Le Journal de Montréal
Vous vous demandez peut-être quelle est l’identité de Juraj Slafkovsky? C’est le genre de question qu’il se pose aussi et il commence à avoir des réponses.
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Sa prestation lors du match de samedi contre les Sénateurs, où il a distribué huit mises en échec et obtenu cinq tirs au but, nous donne, et lui donne, une bonne idée du genre de joueur qu’il peut devenir.
Pour un jeune homme très porté sur l’autocritique, c’est le genre de réponse qui saura peut-être l’apaiser parce que le hamster tourne souvent sans arrêt dans sa tête.
«C’est drôle quand je vois ce que je peux faire par moi-même et que ça paraît bien à la télé. J’ai alors plus d’occasions, plus de tirs et ça fait du bien», a-t-il admis lundi après l’entraînement du Canadien à Brossard.
Contre les Sénateurs, on a vu un «Slaf» affamé et surtout animé par une belle combativité qui a dérangé l’adversaire, ce qu’il appelle lui-même de la colère. S’il veut répéter ce genre de performance sur une base régulière, il sait qu’il doit canaliser cette colère pour la rendre positive.
«Je crois que c’est naturel, mais parfois les choses ne vont pas comme je veux sur la glace et je perds le contrôle, je dois conserver cette combativité même si j’ai deux ou trois moins bonnes présences parce que ça peut gâcher mon match.

Un père et ses deux filles se trouvent en pleine bataille contre leur association de hockey mineur. Celle-ci aurait décidé de rétrograder des joueuses pour assurer la viabilité d’une équipe débutante en plus de refuser catégoriquement de leur permettre de jouer ailleurs et de rembourser leurs frais d’inscription. Se sentant lésées et laissées pour compte, elles ont perdu tout plaisir dans le sport. Si bien, qu’elles ont décidé d’accrocher leurs patins.

L’art d’effectuer des transactions n’est pas donné à tous les directeurs généraux. Et même pour les plus rusés, un taux de succès de 100% est impossible à obtenir. Dans l’histoire du Canadien, certains trocs ont impliqué des joueurs dont on avait sous-estimé le développement, des vétérans rendus au bout du rouleau ou des joueurs vedettes dont le retour fut loin d’être à la hauteur.

Le Canadien doit-il échanger David Savard ou non? Ce dilemme circule abondamment à quelques jours de la date limite des transactions dans la LNH. En fait, la vraie question à se poser est: que rapporterait Savard, sur le marché, et est-ce que ce retour vaudrait vraiment la peine? On a tenté de trouver une réponse.

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