Open d'Australie: Félix Auger-Aliassime poursuit sa superbe séquence
Le Journal de Montréal
Félix Auger-Aliassime s'est qualifié sans trop trembler pour le deuxième tour des Internationaux d'Australie, dans la nuit de dimanche à lundi, et a du même coup porté à six la superbe séquence de victoires sur laquelle il surfe présentement.
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Au lendemain de son sixième titre en carrière, raflé à Adélaïde, le Québécois a vaincu en quatre sets l'Allemand Jan-Lennard Struff, 43e au monde.
Une victoire presque sans failles, à l'exception de la troisième manche échappée par la 29e tête de série à Melbourne, que Félix s'est adjugée 6-3, 6-0, 4-6 et 6-1, en 2 h 24 min.
Après des derniers mois qu'il a lui-même décrits comme «difficiles», Auger-Aliassime n'a maintenant plus perdu depuis son revers au premier match de la United Cup, à Perth, contre le Croate Borna Coric, 90e au monde. C'était le 28 décembre, dans la première rencontre de sa saison 2025.
Depuis, le Montréalais de 24 ans fait montre d'une impressionnante constance (et confiance!), lui qui a notamment battu trois joueurs du top 25 durant sa séquence victorieuse, dont le quatrième joueur au monde, l'Américain Taylor Fritz. Ses récentes performances lui ont permis de renouer avec le 23e rang au classement de l'ATP, en hausse de six places par rapport à la semaine dernière.
Contre Struff, Félix a laissé son bras droit faire le travail. Le Québécois a bombardé le vétéran de 34 ans de 19 as et de 47 coups gagnants, remportant 80% des points disputés sur sa première balle de service.
Mais surtout, il ne s'est pas laissé décontenancer par ce bris subi dès le début de la troisième manche, comme ç'avait souvent été le cas dans les deux dernières années, et notamment dans les tournois du Grand Chelem. Il s'agit d'ailleurs pour FAA d'une première qualification pour le deuxième tour d'une épreuve majeure depuis Roland-Garros, en mai dernier, où il avait atteint la ronde des 16.
Grâce à une contribution remarquable du premier trio, le Canadien de Montréal s’est imposé 4 à 2 contre les Canucks, mardi à Vancouver.
Un beau problème: Lane Hutson est tellement bon que le CH se verra amputé d’une partie de sa masse salariale la saison prochaine. Il reste une vingtaine de matchs à la saison, et le défenseur recrue est pratiquement assuré d’obtenir le montant maximal en bonis de performance prévu dans son contrat.
Un père et ses deux filles se trouvent en pleine bataille contre leur association de hockey mineur. Celle-ci aurait décidé de rétrograder des joueuses pour assurer la viabilité d’une équipe débutante en plus de refuser catégoriquement de leur permettre de jouer ailleurs et de rembourser leurs frais d’inscription. Se sentant lésées et laissées pour compte, elles ont perdu tout plaisir dans le sport. Si bien, qu’elles ont décidé d’accrocher leurs patins.
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CALGARY | David Savard était bien au fait que certaines équipes étaient intéressées à ses services. Peut-être même des formations aspirantes à la coupe Stanley. Mais pour rien au monde, il n’aurait voulu changer de décor.
EDMONTON | Affronter les Oilers à domicile n’est jamais une tâche facile. Avec Connor McDavid et Leon Draisaitl qui sautent sur la patinoire en vague, ça prend un groupe allumé et prêt à s’investir à chaque instant.
L’ancien joueur vedette du Canadien de Montréal Vincent Damphousse s’est fait voler sa bague de champion de la Coupe Stanley l’automne dernier, dans sa luxueuse maison de l’ouest de l’île de Montréal.
Si Lou Lamoriello et les Islanders de New York avaient refusé de sacrifier des joueurs à la date limite des transactions l’an dernier, Kent Hughes et le Canadien peuvent se permettre sans aucune gêne d'opter, cette année, pour le statu quo.
L’art d’effectuer des transactions n’est pas donné à tous les directeurs généraux. Et même pour les plus rusés, un taux de succès de 100% est impossible à obtenir. Dans l’histoire du Canadien, certains trocs ont impliqué des joueurs dont on avait sous-estimé le développement, des vétérans rendus au bout du rouleau ou des joueurs vedettes dont le retour fut loin d’être à la hauteur.
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Le Canadien doit-il échanger David Savard ou non? Ce dilemme circule abondamment à quelques jours de la date limite des transactions dans la LNH. En fait, la vraie question à se poser est: que rapporterait Savard, sur le marché, et est-ce que ce retour vaudrait vraiment la peine? On a tenté de trouver une réponse.
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