Maxime Comtois: autopsie d'une chute drastique
TVA Nouvelles
L’expression «le jour et la nuit» décrit parfaitement les deux dernières saisons de l’attaquant québécois des Ducks Maxime Comtois.
L’an dernier, à seulement 21 ans et en vertu d’une récolte de 33 points en 55 matchs, l’ailier gauche originaire de Longueuil avait conclu le calendrier régulier au premier rang des pointeurs de son club. Voilà pour le jour.
La nuit, c’est cette année. Sa production a drastiquement chuté à sept points en 32 parties et il a été laissé de côté six fois à ses 10 derniers duels.
De catalyseur offensif à candidat régulier à la galerie de presse. Indispensable lors d’une saison, interchangeable, voire carrément remplaçable pour la suivante.
Comment expliquer une telle chute?
L'attaquant du Rocket de Laval Joshua Roy devra s'absenter pendant une durée de quatre à six semaines en raison d'une blessure qu'il a subie durant le match de vendredi.
Sélections douteuses au repêchage, vétérans acquis en fin de carrière, réservistes réclamés pour boucher des trous de façon temporaire: des joueurs louches, dont on a parfois oublié l’existence ou le séjour avec le Canadien, on en a vu passer des douzaines à Montréal depuis le début du millénaire.
On critique beaucoup les bagarres au hockey, mais des combats qui soulèvent une équipe, même si ça semble cliché, ça existe encore.
On reconnaît les bonnes équipes à la capacité qu’elles ont de se relever après une soirée difficile. Au lendemain d’un cuisant revers aux mains des Maple Leafs, c’est ce que le Canadien a fait contre les Rangers. C’est grâce à la résilience qu’on lui connaît de plus en plus qu’il y ait parvenu.
Assommé par les sept buts consécutifs des Maple Leafs de Toronto à ses dépens la veille, le Canadien de Montréal tentera de sauver sa fin de semaine lors de la visite des Rangers de New York au Centre Bell dimanche.
Les Canadiens de Montréal se sont résignés à rappeler un attaquant, dimanche après-midi, avant de croiser le fer avec les Rangers de New York à domicile.
Le Canadien doit penser à ses prochains matchs après sa déconfiture de samedi contre les Maple Leafs de Toronto, mais celle-ci laissera un goût amer à ses joueurs, surtout Arber Xhekaj.
Si les performances de Jakub Dobes font écarquiller les yeux de quantité d’observateurs, celles de Samuel Montembeault font plutôt froncer les sourcils ces temps-ci.
L’ancien gardien québécois Jean-Sebastien Giguère est non seulement le dernier Québécois à avoir été repêché par les Whalers de Hartford, mais il aura aussi été le dernier joueur actif dans la Ligue nationale à avoir porté les couleurs de cette équipe.
Le Canadien de Montréal reçoit les Maple Leafs de Toronto, ce soir, dans ce qui est le troisième match de la saison entre les deux équipes.
Le Canadien de Montréal a permis à plusieurs joueurs québécois d’endosser ses couleurs au cours des cinq dernières années.
Vous avez vu la victoire du Canadien à Dallas, jeudi soir? C’est comme si cette sacrée équipe n’avait plus rien à son épreuve. Les Stars ont frappé tôt dans le match, le Tricolore a répliqué tout de suite. La troupe de Martin St-Louis trouve des façons de gagner. On dit que c’est le signe d’une bonne équipe.
Il y a trois ans, le Canadien procédait à l’embauche de Kent Hughes. Comme il l’avait lui-même suggéré quelques mois plus tôt, Jeff Gorton sortait du cadre habituel en faisant d’un ancien agent de joueurs le 18e directeur général du Tricolore.
Alex Nedeljkovic est devenu le premier gardien de l'histoire a marqué un but dans la Ligue nationale, la Ligue américaine et la ECHL.
Quatre minutes. Voici le temps passé par Nick Suzuki au banc des punitions depuis le début de la saison 2024-2025.
Dans le sport, l’équilibre est une chose fragile, mais il suffit que les pièces se mettent en place pour qu’une équipe se remette sur les rails et file comme un TGV.
Le gardien des Stars de Dallas, Jake Oettinger, a été particulièrement impressionné par la tenue du Canadien de Montréal lors des deux affrontements survenus entre les deux équipes au cours des derniers jours.
Ça ne va pas bien chez les Canucks de Vancouver et l’entraîneur-chef Rick Tocchet n’a pas mâché ses mots au moment de décrire les insuccès du joueur de centre J.T. Miller.