
Schlemko, King et Kassian: les grands oubliés des équipes d'étoiles du millénaire
TVA Nouvelles
Sélections douteuses au repêchage, vétérans acquis en fin de carrière, réservistes réclamés pour boucher des trous de façon temporaire: des joueurs louches, dont on a parfois oublié l’existence ou le séjour avec le Canadien, on en a vu passer des douzaines à Montréal depuis le début du millénaire.
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Pas mal plus que des joueurs vedettes. D’ailleurs, s’il était facile de dresser la liste des six attaquants, des quatre défenseurs et des deux gardiens qui allaient former les deux équipes d’étoiles du Tricolore dévoilées dimanche, le même exercice est plus compliqué en prenant la situation à l’inverse.
Lesquels furent les pires au cours des 25 dernières années ? Les possibilités étaient si nombreuses qu’il a fallu établir quelques critères. De qui se rappelle-t-on le plus pour une raison autre que les performances? Qui l’organisation a tenté de nous vendre le plus tout en se plantant?
Encore là, on aurait eu assez de candidats pour former deux équipes de 20 joueurs. Ce qui a fait dire à un collègue que «tous ces noms rappellent que cette organisation ferait gober n’importe quoi à ses partisans». Y'a un peu de vérité dans ces sages paroles.

Saison 2021-2022, un attaquant de la Ligue nationale de hockey (LNH) a amassé 34 points à cinq contre cinq en 56 matchs. Il produisait 2,48 points par tranche de 60 minutes, un rythme qui le classait 41e dans le circuit, tout près de joueurs comme Aleksander Barkov (39e), Artemi Panarin (38e) et Jack Hughes (35e).