La série «Faits divers» distribuée aux États-Unis et en Amérique latine
Le Journal de Montréal
La société médiatique Olympusat va faire découvrir la série «Faits divers» aux États-Unis et en Amérique latine.
Olympusat, qui œuvre dans l’acquisition, la distribution et la production télévisuelle, a acquis les quatre saisons de la fiction mettant en vedette Isabelle Blais, Patrick Hivon et Émile Proulx-Cloutier, ont annoncé jeudi Encore Télévision-Distribution et la boite de production Sovimage.
C’est Joanne Arseneau qui a écrit les 32 épisodes et c’est Stéphane Lapointe qui les a réalisés. Tous deux collaborent à nouveau pour la nouvelle série «Une affaire criminelle» de Crave.
«Ce sont les textes et la réalisation qui font la force de "Faits Divers", une série qui surprend toujours avec ses personnages hors de l’ordinaire, ses enquêtes bien ficelées et son univers complètement déjanté; un pur plaisir!» a dit Sophie Deschênes, présidente et productrice chez Sovimage.
En anglais, la série qui a obtenu 18 nominations au Gala des prix Gémeaux a été rebaptisée «Crime Stories».
«Toutes les saisons seront offertes en version sous-titrée et doublée en espagnol, en portugais, ainsi qu’en anglais», a expliqué pour sa part Chrystine Girard, cheffe de la distribution internationale d’Encore Télévision-Distribution.
Les droits d’adaptation de «Faits divers» ont par ailleurs été acquis pour le territoire français.
La série est toujours disponible sur ICI TOU.TV EXTRA.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
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