
De Plume à Harmonium, de Queen à Springsteen: ces 20 albums fêtent leur 50 ans en 2025
Le Journal de Montréal
De Wish You Were Here à Et si tu n’existais pas, en passant par Bohemian Rhapsody et Bobépine, des icônes de la musique rock et pop, d’ici et d’ailleurs, ont marqué l’année 1975 en lançant des albums qui ont autant marqué leur époque que traversé le temps. En voici 20 qui célèbrent en lettres d’or leur inscription dans la grande histoire de la musique contemporaine.
Blood On The Tracks, par Bob Dylan
Le cas typique de l’album mal reçu à sa sortie, mais qui est devenu un classique grâce à la magie du temps qui passe. Le 15e disque du barde étatsunien a été enregistré au moment où un divorce mettait sa vie personnelle sens dessus dessous. Même s’il s’est toujours défendu de parler de lui sur Blood On The Tracks, il s’agit d’un de ses albums les plus personnels. Le cinéaste Luca Guadagnino (Call Me By Your Name) a même travaillé sur un projet de film, il y a quelques années, qui relaterait la production de l’album.
Parution: le 20 janvier 1975
Chansons clefs: Tangled Up In Blue, Idiot Wind, Shelter From The Storm
Physical Graffiti, par Led Zeppelin
Le chef-d’œuvre artistique de Led Zeppelin. Rock, blues, funk, Plant-Page-Jones-Bonham ont touché à tout avec brio sur cet album double, dont on dit qu’il est le Sgt. Pepper de leur discographie. Ce n’est pas peu dire si on se souvient que Led Zeppelin IV, sorti trois ans et demi auparavant, misait sur les immenses Stairway To Heaven, Black Dog et When The Levee Breaks pour stimuler ses ventes.
Parution: le 24 février 1975
Chansons clefs: Kashmir, In My Time Of Dying, Trampled Under Foot

Souffrant d’un cancer du poumon de stade 4, Paul «Polo» Bellemare, du groupe Les Frères à ch’val, a cessé ses traitements et signé pour obtenir l’aide médicale à mourir. «Il ne reste que les formalités protocolaires à remplir et la date à choisir», confirme-t-il dans une suite d’échanges avec Le Journal.

Il y a un an, Donald Trump s’invitait à la cérémonie des Oscars en fustigeant sur les réseaux sociaux son animateur, Jimmy Kimmel. Douze mois plus tard, alors que le 47e président des États-Unis a récemment promis de «ramener l’âge d’or d’Hollywood», son ombre planera plus que jamais sur la 97e édition de la grand-messe du cinéma américain.