
Trump opposé à une interdiction nationale de l’avortement, selon JD Vance
Le Journal de Montréal
Donald Trump mettra son droit de veto à une interdiction nationale de l’avortement s’il redevient président, a affirmé le candidat républicain à la vice-présidence JD Vance, dimanche.
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«Je peux absolument m’engager à ça», a-t-il lancé sur les ondes de la chaîne américaine NBC lors d’une entrevue pour l’émission Meet the Press.
«Ce que je veux dire, c’est que si vous ne soutenez pas ça en tant que président des États-Unis, vous devez fondamentalement y opposer votre veto», a ajouté M. Vance.
Le Parti républicain préfère laisser le choix aux États des lois qu’elles désirent imposer.
«Si la Californie veut des droits sur l’avortement différents que ceux de l’Ohio, l’Ohio va devoir respecter la Californie et la Californie doit respecter l’Ohio», a affirmé le colistier de Trump.
«Laissons les États choisir ce qu’ils veulent comme loi sur l’avortement», a-t-il déclaré.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.

Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.

Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.