
Procès civil de Donald Trump: «c'est une arnaque, c'est un simulacre»
Le Journal de Montréal
Donald Trump, accusé avec deux de ses enfants d'avoir surévalué de manière colossale pendant des années leurs actifs immobiliers, est arrivé lundi dans un tribunal de New York pour un procès civil que le favori des républicains à la présidentielle de 2024 a qualifié de «simulacre.»
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«Nous avons une procureure générale raciste qui est un spectacle d'horreur (...). C'est une arnaque,» a attaqué l'ancien président des États-Unis juste avant de pénétrer dans la Cour suprême de l'État de New York (tribunal de première instance, NDLR), où il est cité comme témoin.
Ce procès au civil, prélude d'un marathon judiciaire, pourrait menacer l'empire économique de Donald Trump.
La plaignante dans cette affaire, la procureure générale de l'État de New York Letitia James (équivalent de ministre locale de la Justice) a assuré devant le palais de justice de Manhattan que la «justice allait prévaloir» et accusé le milliardaire républicain de «fraudes répétées» et d'avoir «triché».

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.

Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.

Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.