
Plusieurs personnes tuées et blessées par un homme armé d'un arc en Norvège
Le Journal de Montréal
Un homme armé d’un arc et de flèches a tué plusieurs personnes et en a blessé plusieurs autres mercredi à Kongsberg, dans le sud-est de la Norvège, avant d’être arrêté par la police.
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«Nous pouvons malheureusement confirmer qu’il y a plusieurs blessés et aussi malheureusement plusieurs tués», a déclaré un responsable de la police locale, Øyvind Aas, lors d’un point de presse.
«L’homme qui a commis cet acte a été arrêté par la police et, d’après nos informations, il n’y a qu’une personne impliquée», a-t-il ajouté.
Les mobiles de l’attaque, qui s’est produite à plusieurs endroits de Kongsberg, sont encore indéterminés à ce stade.
La police n’a pas fourni de détails sur le suspect, sinon qu’il s’agit d’un homme qui a été emmené au commissariat de la ville voisine de Drammen.
«Aucune recherche active n’est en cours pour retrouver d’autres personnes», a précisé Øyvind Aas.
Selon la chaîne TV2, l’homme avait aussi un couteau et/ou plusieurs autres armes.
Les blessés ont été hospitalisés. Ni leur nombre ni leur condition n’est connu dans l’immédiat.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.

Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.

Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.