
Pas encore de décès lié à Omicron signalé, selon l’OMS
Le Journal de Montréal
GENÈVE | L’Organisation mondiale de la santé n’a pour l’heure pas d’information sur un éventuel décès liés au nouveau variant Omicron du virus donnant la COVID-19, a indiqué vendredi un porte-parole de l’organisation à Genève.
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«Je n’ai vu aucune information rapportant des décès liés à Omicron», a déclaré Christian Lindmeier, lors d’un point de presse régulier de l’ONU à Genève.
Comme plus de pays font des tests pour tenter de détecter le nouveau variant, «nous aurons plus de cas, plus d’informations, et — bien que j’espère que non — possiblement des morts», a-t-il souligné.
Le nouveau variant, classé inquiétant par l’OMS, a été détecté d’abord en Afrique australe mais depuis que les autorités sanitaires sud-africaines ont alerté l’OMS le 24 novembre, des infections avec Omicron ont été constatées dans une trentaine de pays sur tous les continents.
Si en dehors de l’Afrique australe, les premières infections ont pu être rattachées en général à des personnes ayant voyagé dans la région, les premiers cas de transmission locale apparaissent désormais, aux États-Unis ou en Australie par exemple.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) juge «élevée» la «probabilité qu’Omicron se répande au niveau mondial», même si de nombreuses inconnues demeurent: contagiosité, efficacité des vaccins existants, gravité des symptômes.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.

Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.

Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.