Nouvel aréna de 5000 places: les Coyotes de l'Arizona sont la cible de moqueries
Le Journal de Montréal
Les Coyotes de l’Arizona ont dévoilé lundi, sur Twitter, des images de leur futur domicile, qui est présentement en rénovation, et ils ont été la cible de moqueries des internautes.
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La semaine dernière, l’organisation de la Ligue nationale de hockey (LNH) a indiqué s’être entendue avec l’Université Arizona State pour disputer leurs matchs à domicile dans leur amphithéâtre de 5000 places pour les trois prochaines campagnes. Le contrat inclut aussi une option pour la saison 2025-2026.
Plusieurs ont souligné le ridicule de la situation, considérant qu’une équipe du circuit Bettman évolue devant aussi peu de spectateurs. À titre comparatif, cinq des 18 équipes de la Ligue junior majeur du Québec évoluent dans des amphithéâtres qui peuvent accueillir plus de 5000 spectateurs.
«Est-ce une blague?», a questionné un internaute.
«C’est une bonne chose que vous n’avez pas de bannière de champion à accrocher au plafond, car elles toucheraient probablement la glace», a souligné un autre, évoquant ainsi la petitesse de l’endroit.
«La LNH est pathétique de laisser ça survenir. Cette équipe devrait être à Québec, Houston, Kansas City, Milwaukee, Saskatoon, Hamilton, Portland, Halifax ou Salt Lake City à la place d’être en Arizona dans un aréna qui a une si minuscule capacité», a affirmé un utilisateur du réseau social.
Bennedict Mathurin a maintenant joué 158 matchs en carrière, et déjà, il est avantageusement positionné dans un débat qui viserait à identifier le meilleur Québécois dans l’histoire de la NBA.
On s'y attendait, mais le constat n'est pas pour le moins brutal : le Québec fait encore une fois figure d'enfant pauvre sur la scène nationale.
Jacques Plante, Ken Dryden, Steve Penney, Patrick Roy, José Théodore et Carey Price. À toutes les époques de cette rivalité, les joueurs des Bruins se sont rivé le nez sur des gardiens au sommet de leur art et de leur forme.
Déjà que les choses ne vont pas très bien pour Kirby Dach par les temps qui courent, une pénalité de quatre minutes qui lui a été décernée pour coup de bâton en fin de match a permis aux Rangers de New York de l'emporter 4 à 3 contre le Canadien de Montréal, samedi au Madison Square Garden.
NEW YORK | Parfois, une équipe perd un match et se dit qu’elle aurait mérité un meilleur sort. Dans le cas du Canadien qui a perdu 4 à 3 contre les Rangers c’est tout à fait vrai.