
Martin St-Louis, le maître à bord
Le Journal de Montréal
Rick Nash l’a décrit comme un enseignant du hockey. Vincent Lecavalier a dit qu’il se préparait à devenir un entraîneur en chef dans la LNH depuis le jour de sa retraite en 2015. Dan Boyle a prédit qu’il était le gars parfait pour remplir ce boulot à Montréal.
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Nash, Lecavalier et Boyle ont connu Martin St-Louis, le joueur étoile dans la LNH. Mais ils n’avaient jamais vu l’entraîneur en lui, celui qui passait ses dernières semaines avec une équipe pee-wee AAA dans le Connecticut.
À son premier entraînement dans ses nouvelles fonctions avec le Canadien, St-Louis ressemblait à tout niveau à un entraîneur de la LNH. Il a sauté sur la patinoire avec la même confiance qu’à ses années glorieuses avec le Lightning de Tampa Bay.
Malgré son inexpérience du métier, c’est lui qui avait le sifflet dans les mains. C’est lui qui réunissait ses joueurs pour dessiner des schémas de jeux sur le tableau. Et c’est lui qui dictait le rythme des exercices.
À ses premiers pas, St-Louis aurait pu servir de simple observateur et confier les responsabilités de l’entraînement à ses adjoints, Luke Richardson, Alex Burrows ou Trevor Letowski. Il ne l’a pas fait. Il a rapidement envoyé le message qu’il était le nouveau maître à bord.
« C’est le fun d’embarquer sur la glace avec les joueurs, a dit St-Louis. Les six ou sept dernières années, j’étais sur la glace pratiquement tous les jours. Les joueurs étaient plus jeunes et plus petits. J’ai rapidement remarqué qu’il y a moins d’espace maintenant avec des gars de la LNH. Les tirs sont plus forts, ils rebondissent plus loin, tu dois faire plus attention à où tu te promènes sur la patinoire. J’étais à l’aise de diriger cet entraînement. J’ai eu beaucoup de plaisir. »
Des sourires

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