
Manoir à près de 6 M$: «Sarto» met sur pause la vente de sa maison
Le Journal de Montréal
Jean-Noël Lacroix a suspendu la vente du manoir de Saint-Augustin-de-Desmaures où il réside pour éviter de donner un seul sou au fisc, qui a pris de nouvelles garanties sur la spectaculaire demeure.
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«J’aime mieux laisser tomber la vente que leur donner 1$», lance Jean-Noël Lacroix, casquette «9999» vissée sur la tête.
L’immense maison de la rue de l’Hêtrière, à Saint-Augustin-de-Desmaures, appartient à sa conjointe, Marie-Louise Monast. La résidence a été mise en vente pour près de 6 M$, en mai dernier, ce qui en faisait alors la propriété la plus chère sur le marché de la capitale.
Au cours des derniers mois, une offre d’achat à 4,5 M$ avait été acceptée, affirme Lacroix. Les parties devaient passer chez le notaire pour officialiser le tout, le 1er avril.
Mais pratiquement au même moment, Revenu Québec et Revenu Canada ont pris en garantie les créances hypothécaires de Marie-Louise Monast. C’est que pour acquérir sa demeure, la dame a emprunté 4 M$ à une société appartenant à son mari et 1 M$ à une société enregistrée à son nom – mais qui a déjà porté le nom d’Armoires PMM – selon des documents transmis par le fisc.
Or, ces deux sociétés doivent des centaines de milliers de dollars aux agences de revenu provincial et fédéral, toujours selon ces documents, ce que Lacroix conteste. Et si la maison avait été vendue, le fisc «ramasse son chèque», s’insurge Lacroix.

Ou plutôt, aurais-je dû troquer le mot «meilleur» contre «plus gourmand»? Parce que si on regarde l’évolution de cet aliment-plaisir, qui autrefois pouvait être décrit comme un simple petit bonheur de la vie, aujourd’hui, nous avons littéralement droit à de gargantuesques créations effrayamment décadentes. Si les biscuits suivant la nouvelle tendance peuvent en désenchanter quelques-uns, c’est apparemment tout le contraire pour beaucoup de Québécois, à voir les fourmillantes boutiques au concept de monoproduit. Que vous les préfériez dodus, farcis, minces ou croustifondants, voici quelques adresses qui sauront certainement combler votre rage de sucre.

La guerre commerciale qui sévit actuellement entre le Canada et les États-Unis entraînera des répercussions directes sur le coût de la vie en Amérique du Nord, et ce, pour les mois et peut-être même les années à venir. Le même sort attend l’industrie automobile qui sera forcée de s’ajuster rapidement devant cette application potentielle et imprévue de tarifs douaniers.