Le hockey mineur québécois est presque incurable Le hockey mineur québécois est presque incurable
TVA Nouvelles
Note de la rédaction: M. Picard est un ex-défenseur des Canadiens de Montréal qui a disputé 253 matchs dans la Ligue nationale de hockey, en plus d’avoir joué professionnellement en Russie, en Suisse et en Allemagne. Analyste à TVA Sports, il est depuis quelque temps répugné par ce qu’il voit dans notre hockey mineur québécois. Il a découvert ses côtés les plus laids en suivant son fils dans les arénas. Son constat est saisissant.
Je suis à la retraite du hockey professionnel depuis mai 2019. J’ai passé les sept dernières années de ma carrière en Europe. Mon fils a commencé son parcours de hockeyeur en Suisse et en Allemagne, après quoi nous sommes revenus au Québec. À la lumière de ce que j’ai vu en Europe, le hockey mineur québécois me déçoit profondément. En fait, pour être honnête, je crois que le hockey d’élite dans la province est presque incurable.
Depuis mon retour au Québec, voici les horreurs que j’ai vues:
Ces comportements ne sont pas acceptables dans un contexte de hockey mineur.
J’ai constaté l’évolution de l’intensité à travers les expériences de mon fils, et je note une différence fondamentale entre l’Europe et le Québec: la mentalité.
Le défenseur des États-Unis Charlie McAvoy a été admis dans un hôpital de Boston, lundi, a rapporté le Boston Globe, qui cite deux sources.
Après Matthew, c’est au tour de Brady Tkachuk de tomber au combat à la Confrontation des 4 nations.
BOSTON | Le Canada a battu la Finlande. Mais on n’en avait rien à cirer. La sirène n’avait pas encore fini d’annoncer la fin du match qu’on ne parlait déjà plus que de la finale à venir entre le pays de Justin Trudeau et celui de Donald Trump.
La présence de Sidney Crosby sur la glace à un entraînement facultatif au lendemain d’une victoire du Canada contre la Suède a récemment semé l’émoi à travers le pays. Michel Therrien, lui, avait vu ça trop souvent pour être étonné.
Le parcours du Canada à la Confrontation des 4 nations pourrait prendre fin abruptement avec un faux pas contre la Finlande, que l’unifolié affrontera au TD Garden de Boston cet après-midi.
L’espoir du Canadien de Montréal Ivan Demidov continue d’éblouir la planète hockey et l’un de ceux les mieux placés pour admirer ses manœuvres prodigieuses est l’entraîneur-chef du Traktor de Tcheliabinsk, Benoît Groulx, qui tient cependant à apporter un bémol au sujet du patineur de 19 ans.
Le Canada se trouve en quelque sorte au pied du mur à la Confrontation des 4 nations et, s’il espère rejoindre les États-Unis en finale, il devra vaincre la Finlande lundi, pourvu qu’il remplisse quelques conditions.
Après avoir raté le match de la veille, le défenseur Cale Makar a participé à l’entraînement optionnel du Canada dimanche.
BOSTON | Dire que Jacob Fowler domine la NCAA à sa deuxième saison avec les Eagles de Boston College est un euphémisme. Le Floridien survole toutes les statistiques des gardiens du circuit universitaire américain.
Trois bagarres dans les neuf premières secondes de jeu, ça ne doit jamais s’être vu dans la LNH. Encore moins dans un match international. C’est pourtant ce à quoi on a eu droit samedi soir.
Les amateurs de hockey attendaient ce moment depuis longtemps, mais leur patience est finalement récompensée samedi soir avec le duel Canada-États-Unis au Centre Bell lors de la Confrontation des 4 nations.
Après sa lourde défaite en levée de rideau contre les États-Unis, la Finlande n’aura pas d’autres choix que de l’emporter contre la Suède, samedi au Centre Bell, pour garder un espoir de qualification pour la grande finale à la Confrontation des 4 nations.
Trois mois de suspension plutôt que les « un à deux ans » initialement réclamés : l’Agence mondiale antidopage a annoncé samedi avoir conclu un « accord de règlement » avec le N.1 mondial Jannik Sinner après un contrôle positif en mars 2024.