
Le colistier de Harris électrise les démocrates à Chicago
Le Journal de Montréal
«Vous aurez le temps de dormir quand vous serez morts!»: le colistier de Kamala Harris, Tim Walz, a lancé mercredi un vibrant appel à la mobilisation des démocrates à l'élection présidentielle, au troisième soir de leur convention à Chicago.
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«Nous n'avons plus que 76 jours, c'est rien», a déclaré le gouverneur du Minnesota, choisi par la vice-présidente pour l'épauler dans son duel face à Donald Trump, le 5 novembre.
«Notre boulot, pour tous ceux qui nous regardent, c'est de se mettre en ordre de marche», a-t-il affirmé à des milliers de militants survoltés, les exhortant à «passer des coups de fil», «toquer aux portes» et «faire des dons».
Sur scène à Chicago, le sexagénaire, qui deviendra vice-président si les démocrates l'emportent en novembre, a accepté l'investiture de son parti à l'élection.
Avant de louer en Kamala Harris une femme «puissante», «pleine d'expérience» et «prête» pour être présidente.«Vous aurez le temps de dormir quand vous serez morts!»: le colistier de Kamala Harris, Tim Walz, a lancé mercredi un vibrant appel à la mobilisation des démocrates à l'élection présidentielle, au troisième soir de leur convention à Chicago.
Cet homme au crâne dégarni et aux petites lunettes rectangulaires, inconnu du grand public il y a encore quelques semaines, est aussi longuement revenu sur les moments les plus marquants de sa vie.
De son enfance dans une petite ville du Nebraska, aux difficultés qu'il a connues pour concevoir un enfant, en passant par sa carrière de coach de football américain.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.

Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.

Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.