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Le Canadien doit apprendre à gérer les risques, même en supériorité numérique
Le Journal de Montréal
NASHVILLE | La troupe de Martin St-Louis a plié l’échine contre les Panthers et le Lightning, mais avec un peu de chance et, surtout, une meilleure gestion des risques, elle aurait très bien pu surprendre les deux formations floridiennes.
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Étrangement, c’est un but accordé alors qu’il jouait avec l’avantage d’un homme qui, dans chacune des deux rencontres, a coûté des points de classement au Tricolore.
Sur chacune des séquences, c’est un revirement causé à la ligne bleue adverse qui a permis à l’adversaire de créer l’égalité.
«C’est frustrant, car on en avait parlé avant le match contre Tampa, a raconté Mike Matheson. On s’est dit qu’il ne fallait pas que ça se reproduise. Parfois, le hockey peut être cruel et vous donner des leçons à la dure.»
C’est la réalité d’une jeune équipe, celle qui oublie parfois qu’il faut savoir choisir nos moments pour effectuer des jeux un peu plus à risque.
«Ça fait partie de l’apprentissage. Au début de la saison, si on m’avait dit que notre attaque massive accorderait 14 buts [elle est rendue à 11], mais qu’à la fin de l’année, elle aurait l’air de ce qu’elle est présentement, j’aurais payé cher», a soutenu St-Louis.