La princesse Kate «énormément touchée» par les messages de soutien reçus après l’annonce de son cancer
Le Journal de Montréal
La princesse de Galles, Kate Middleton, et son mari, le prince William, ont été «énormément touchés» par les nombreux messages de soutien qu’ils ont reçu après que la princesse ait annoncé être atteinte d’un cancer.
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«Le prince et la princesse sont tous les deux énormément touchés par les gentils messages d’ici au Royaume-Uni, du Commonwealth et de partout à travers le monde en réponse au message de sa majesté», indique par communiqué un porte-parole du palais de Kensington.
«Ils sont extrêmement émus par la chaleur du public et le soutien et son très reconnaissant de la compréhension du public de leur demande de respect de leur vie privée», ajoute-t-on
Dans un message vidéo diffusé vendredi, la princesse âgée de 42 ans a annoncé être atteinte d’un cancer, mettant fin à plusieurs mois de spéculation quant à son état de santé et créant une onde de choc à travers le monde.
Donald Trump a fait appel au patriotisme américain dans son premier discours de politique générale devant le Congrès américain, mardi soir.
Le pape François, hospitalisé à Rome depuis le 14 février pour une pneumonie, a passé la journée de mardi sans connaître de nouvelle crise respiratoire comme la veille, et son état de santé est «stable», a indiqué le Vatican.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.
Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.
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Une quinzaine de dirigeants alliés de l'Ukraine tiennent dimanche à Londres un sommet crucial pour imaginer de nouvelles garanties de sécurité en Europe face aux craintes de lâchage par Washington, accentuées après le conflit de vendredi entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky.
Le Royaume-Uni et l’Ukraine ont signé samedi un accord portant sur un prêt de 2,26 milliards de livres (un peu plus de 4,107 milliards en dollars canadiens) pour soutenir les capacités de défense de Kyïv, Londres le présentant comme le signe d’un «soutien indéfectible au peuple ukrainien».
Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.
Dans une scène d'une tension inouïe, Donald Trump et Volodymyr Zelensky se sont publiquement affrontés dans le Bureau ovale, le président américain exigeant de son invité, en haussant la voix, qu'il se montre «reconnaissant».