
Jeff Gorton veut apprendre le français Discours d’ouverture (en français)
Le Journal de Montréal
Jeff Gorton n’a pas prêté serment sur la sainte Bible francophone, mais il a démontré ses intentions d’apprendre le français durant son règne de vice-président des opérations hockey à Montréal.
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Après avoir amorcé son discours d’ouverture dans la langue de Molière, y mettant d’ailleurs beaucoup plus d’efforts que sa nouvelle formation en déploie sur la glace, l’Américain a poussé un petit soupir de soulagement.
« I hope it was ok. I’m learning and be patient with me, but I will try to learn, ok », a-t-il poursuivi en anglais en demandant la compréhension des partisans.
Rapidement, donc, Gorton a écarté de la table un sujet de discorde, celui de l’unilinguisme dans un poste de direction du Tricolore. Rappelons qu’il faut remonter à 1964 pour retrouver pareille situation. Frank Selke, un Anglo-Saxon, occupait à cette autre époque le poste de directeur général du CH.
Bref, Gorton s’est montré très ouvert à apprendre la première langue officielle du Québec et la seconde au pays, vendredi matin lors de sa première conférence de presse à Brossard.
Plus que quelques mots

L’art d’effectuer des transactions n’est pas donné à tous les directeurs généraux. Et même pour les plus rusés, un taux de succès de 100% est impossible à obtenir. Dans l’histoire du Canadien, certains trocs ont impliqué des joueurs dont on avait sous-estimé le développement, des vétérans rendus au bout du rouleau ou des joueurs vedettes dont le retour fut loin d’être à la hauteur.

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Le superbe début de saison de Félix Auger-Aliassime s’est poursuivi, vendredi à Dubaï. Pour une troisième fois cette saison, le Québécois a atteint la finale et il sera samedi en quête de son titre le plus prestigieux de la campagne et sera en quête d'un premier titre ATP 500 sur surface dure extérieure.