
Danemark: Greta Thunberg arrêtée lors d'une action propalestinienne
Le Journal de Montréal
Greta Thunberg et un groupe de militants ont été arrêtés mercredi après avoir occupé un bâtiment de l'université de Copenhague pour appeler au boycott des universités israéliennes, rapportent les médias danois.
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La militante écologiste de 21 ans apparaît sur les images du quotidien Ekstrabladet portant un keffieh noir et blanc sur les épaules, escortée hors du bâtiment par la police.
Greta Thunberg a publié de son côté sur Instagram des photos de la police antiémeute entrant dans un bâtiment où le groupe «Les étudiants contre l'Occupation» manifestait.
«Je ne peux pas confirmer les noms des personnes arrêtées, mais six personnes ont été arrêtées en lien avec la manifestation», a dit un porte-parole de la police de Copenhague à l'AFP.
«Ils sont soupçonnés d'avoir forcé l'entrée du bâtiment et de l'avoir bloquée», a-t-il ajouté.
«Pendant que la situation en Palestine se dégrade, l'université de Copenhague continue de coopérer avec les institutions académiques en Israël», a dénoncé le groupe «Les étudiants contre l'Occupation» dans un message sur Instagram.
«Nous occupons» les locaux «de l'administration centrale de l'université avec une demande: un boycott académique tout de suite».

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.

Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.

Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.