
COVID-19 : Sydney dévoile son «plan pour la liberté» grâce à une baisse du nombre de cas
Le Journal de Montréal
SYDNEY, Australie | Les habitants vaccinés de Sydney vont enfin sortir d’un confinement de plus de trois mois à la mi-octobre, ont annoncé lundi les autorités, dévoilant un « plan pour la liberté » au moment où le nombre de cas diminue dans la ville.
• À lire aussi: La douce poésie des antivax
L’obligation de rester chez soi doit être levée à Sydney et dans l’Etat de Nouvelle-Galles-du-Sud lorsque le taux de vaccination complète dépassera 70 %, un objectif que la première ministre de l’Etat Gladys Berejiklian pense atteindre le 11 octobre.
Pour la première fois depuis plus de trois mois, les pubs, restaurants et magasins pourront alors rouvrir aux clients vaccinés et les amis et les familles vivant dans la plus grande ville australienne pourront à nouveau se réunir.
« Il n’y a plus que cette semaine et la semaine prochaine à tenir », a encouragé Mme Berejiklian.
« On y est presque, presque, n’abandonnons pas à la dernière minute. »
Le « plan pour la liberté » autorisera les voyages à travers la Nouvelle-Galles-du-Sud lorsque 80 % des plus de 16 ans seront vaccinés, seuil qui pourrait être atteint fin octobre, a précisé le premier ministre adjoint John Barilaro.
La limitation du nombre d’invités aux enterrements et aux mariages sera levée au même moment et les rencontres sportives pourront reprendre.
Les adultes non vaccinés devront quant à eux attendre au moins jusqu’au 1er décembre pour jouir de ces mêmes libertés, date à laquelle 90 % de la population en âge d’être vaccinée devrait l’être.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.

Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.

Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.