
COVID-19 : Les États-Unis dépassent les 900 000 morts recensés
Le Journal de Montréal
Les États-Unis ont dépassé vendredi les 900 000 morts de la COVID-19 depuis le début de la pandémie, selon le bilan de l’université Johns Hopkins.
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Le pays avait franchi le seuil des 800 000 décès mi-décembre, il y a seulement un mois et demi.
Depuis, les États-Unis ont été confrontés à la vague liée au variant Omicron, qui a provoqué des niveaux de contaminations record.
Les cas sont maintenant en baisse, mais le nombre de décès quotidiens continue lui de grossir, avec en moyenne 2 400 décès par jour actuellement, selon les données des autorités sanitaires.
Et le nombre d’hospitalisations «reste élevé, poussant dans leurs retranchements nos capacités de soins et notre personnel de santé dans certaines régions», avait souligné mercredi lors d’une conférence de presse Rochelle Walensky, la directrice des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), principale agence sanitaire fédérale.
Les décès surviennent généralement avec quelques semaines de retard sur les contaminations, expliquant ce décalage entre la courbe des cas et des morts.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a proposé mardi une trêve avec la Russie dans les airs et en mer pour entamer des discussions sur une «paix durable» sous «le leadership» de Donald Trump et s’est dit prêt à signer avec le président américain l’accord-cadre sur l’exploitation des ressources naturelles, souhaitant «arranger les choses» avec lui.

Donald Trump a mis à exécution sa menace de taxer lourdement les produits des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis, avec l’entrée en vigueur mardi de tarifs douaniers contre le Canada et le Mexique et de nouvelles taxes sur les importations chinoises, déclenchant une riposte rapide d’Ottawa et de Pékin.

Volodymyr Zelensky a affirmé samedi que le soutien de Donald Trump restait «crucial» pour l’Ukraine et qu’il était prêt «à signer l’accord sur les minéraux qui constituera le premier pas vers des garanties de sécurité», au lendemain de son altercation avec son homologue américain et avant de rencontrer le premier ministre britannique Keir Starmer.