
C’est fini l’anonymat pour Leylah
Le Journal de Montréal
BOYNTON BEACH, Floride | Comment se récompense-t-on quand on a 19 ans et qu’on a disputé sa première finale en Grand Chelem ? En s’achetant une belle voiture ? Non, quand on est Leylah Fernandez, on se gâte avec de la poutine.
« Après le US Open, j’ai passé quelques jours à Montréal. J’en ai profité pour revoir les terrains où je me suis entraînée longtemps, visiter la ville, et manger quelques burgers et de la poutine. La poutine est très importante ! » rigole la Québécoise.
Le Journal a rencontré Leylah en compagnie de son père et entraîneur Jorge, près du domicile familial, à Boynton Beach. La nouvelle étoile du tennis revenait tout juste de l’entraînement. Il était 18 h 30.
Les vacances ont donc été de courte durée pour Leylah.
Après s’être accordé ces journées de pause à Montréal, où elle a aussi vu famille et amis, Fernandez est retournée en Floride pour peaufiner son jeu.
Encore douloureux
Parce que même trois semaines après avoir atteint contre toute attente la ronde ultime des Internationaux des États-Unis, la jeune joueuse peine toujours à ne tirer que du positif de son incroyable performance.
Quelques minutes après s’être inclinée 6-4 et 6-3 devant la Britannique Emma Raducanu, l’autre nouvelle star de la WTA, la Lavalloise d’origine avait déclaré qu’il lui serait dur « de se remettre de cette journée ».
Le temps a passé, mais le constat reste le même.

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Le superbe début de saison de Félix Auger-Aliassime s’est poursuivi, vendredi à Dubaï. Pour une troisième fois cette saison, le Québécois a atteint la finale et il sera samedi en quête de son titre le plus prestigieux de la campagne et sera en quête d'un premier titre ATP 500 sur surface dure extérieure.