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[VIDÉO] Maripier Morin s'ouvre sur sa dépendance à l’alcool
Le Journal de Montréal
Maripier Morin parle ouvertement de sa dépendance à l’alcool dans une vidéo liée au lancement d’une campagne d’aide aux personnes souffrant de dépendance.
« C’est gênant de parler de l’alcoolisme et de la dépendance, parce qu’on se sent jugé, explique Maripier Morin dans la vidéo. On a l’impression qu’on est les seuls à avoir ce problème-là. Moi, je me suis beaucoup sentie comme ça, d’avoir l’impression d’être un échec, de ne pas comprendre pourquoi ma consommation est toujours excessive. Tu te sens seule, tu te sens isolée, tu te sens poche, laide, tous les sentiments honteux. »
Grains d’espoir
En association avec l’entrepreneur Angelo Rubino, elle lance le projet Grains d’espoir qui a pour mission d’amasser des fonds, par la vente de sacs de café, pour lutter contre la dépendance.
Parallèlement, un podcast a aussi été lancé. On y aborde les thèmes de la dépendance et du rétablissement. Et, dans un épisode, Un Espresso avec Angelo, l’animatrice a aussi admis qu’elle était dépendante à la cocaïne.
Le but de ce vaste projet ?
Faire comprendre aux gens dépendants qu’il existe des ressources et des centres pouvant les aider.
« Pour moi, Grains d’espoir, c’est justement l’espoir de changer les perspectives qu’on a face à la maladie de l’alcoolisme et de la dépendance, dit-elle dans la vidéo présentée en noir et blanc. Je pense que c’est inscrit dans nos codes, quand on se soucie de quelqu’un qui ne feel pas trop, de dire : as-tu envie de prendre un café, aurais-tu envie qu’on jase ? Je pense que c’est connu que dans une fraternité anonyme, il y a du café qui se boit, ça sent le café. »
L’entièreté des profits du projet sera remise annuellement à trois organismes d’aide à travers le Québec.

Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.