Travaux de maintien: des fermetures de nuit à prévoir sur l’autoroute métropolitaine
Le Journal de Montréal
Les automobilistes qui passent par Montréal vont devoir composer avec de nouvelles fermetures en raison de travaux de maintien qui seront réalisés dès lundi sur l’autoroute métropolitaine.
L’autoroute 40, aussi connue sous le nom d’autoroute métropolitaine, va être entravée les nuits et certaines fins de semaine afin de remplacer des joints sur le tablier du pont de l’autoroute, a expliqué Louis-André Bertrand, porte-parole du ministère des Transports et de la Mobilité durable.
«Ce sont des travaux de maintien qui étaient planifiés et c’est une opération qui prend quelques jours à chaque fois», a-t-il indiqué en entrevue à LCN, lundi.
Principalement prévues la nuit, les entraves vont aussi avoir des conséquences le jour lorsque les ouvriers vont devoir placer des plaques d’acier par-dessus ces joints. Elles auront lieu entre l’échangeur Décarie et celui des Laurentides.
La planification des travaux va beaucoup dépendre de la météo, selon le porte-parole, qui a mentionné que le temps de séchage du béton sera influencé par les températures extérieures.
Chaque jour, ce sont environ 190 000 véhicules qui circulent sur l’autoroute métropolitaine, dont près de 10% de camions.
«Il y a vraiment un travail qui est fait avec l’industrie du camionnage pour s’assurer de bien les tenir informés. Habituellement le gros lot du passage des camions lourds se fait de jour et de nuit cela se fera sur la voie de desserte», a précisé M. Bertrand.
Un regroupement de personnes accidentées de la route, qui estime ne pas recevoir assez d’indemnités de la part de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), a organisé une série de manifestations devant les bureaux administratifs de l’organisation afin de réclamer une rencontre avec la ministre des Transports, Geneviève Guilbault.
La présidente du Conseil du trésor, Sonia Lebel, a assuré, mardi en fin d’après-midi, que les deux parties allaient s’asseoir à la table de négociation «dans les prochains jours» avec pour objectif de délier l’impasse entre la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) et le gouvernement caquiste.
Ils sont encore étudiants, mais pensent déjà à investir leur argent à la Bourse plutôt que de sortir dans les bars. La Génération Z, ces jeunes qui ont entre 18 et 26 ans, investissent plus et plus tôt que les autres générations grâce à la technologie et aux réseaux sociaux. Font-ils les bons choix?