
Top 25 des plus belles voix féminines du Québec
Le Journal de Montréal
Elles nous ont émus, nous ont fait danser, nous ont fait frissonner. De Ginette Reno à Luce Dufault, en passant par Charlotte Cardin, Patsy Gallant, Marie Carmen et Renée Martel, ces 25 chanteuses ont marqué notre histoire avec leurs chansons et leur talent.
À l’instar du magazine Rolling Stone, Le Journal dresse aujourd’hui son palmarès des plus grandes voix féminines du Québec, mais en plaçant Céline Dion là où elle mérite d’être: au sommet.
Janvier 2023. Le réputé magazine Rolling Stone démarre l’année en publiant son palmarès des plus grands chanteurs et chanteuses de l’histoire, liste qui laisse un arrière-goût amer chez plusieurs mélomanes. La raison de ce mécontentement? Céline Dion y brille par son absence, la diva de Charlemagne ayant été écartée au profit des Billie Eilish, Françoise Hardy et autres Lana Del Rey de ce monde.
Il n’en fallait pas plus pour qu’une vague de colère et d’incrédulité déferle jusqu’aux bureaux du magazine américain. Si plusieurs – incluant la parolière Diane Warren, auteure du succès Because You Loved Me – se sont simplement tournés vers les réseaux sociaux pour exprimer leur mécontentement, certains sont allés jusqu’aux bureaux du Rolling Stone, à New York, pour manifester leur désarroi.
Réaction démesurée ou légitime? Les avis sont partagés.
De voix et d’émotion
Le Journal s’est tout de même prêté au même exercice, sondant ses journalistes et ses chroniqueurs culturels pour dresser le palmarès des 25 plus grandes voix féminines du Québec.
Et c’est en se basant sur différents critères, tous évidemment subjectifs, qu’ils ont érigé ce panthéon musical où certaines icônes musicales sont aujourd’hui introduites.
Certes, il y a la voix. Nul n’est indifférent aux prouesses vocales des femmes citées dans cette liste ni à la maîtrise parfaite de leur instrument qu’elles démontrent chaque fois qu’elles empoignent un micro. Mais ce n’est pas tout; la richesse de leur répertoire, la majesté de leur interprétation, leur capacité à véhiculer de grandes émotions et l’empreinte indélébile laissée par leurs titres sont toutes des éléments ayant été pris en considération par notre jury.

Il y a un an, Donald Trump s’invitait à la cérémonie des Oscars en fustigeant sur les réseaux sociaux son animateur, Jimmy Kimmel. Douze mois plus tard, alors que le 47e président des États-Unis a récemment promis de «ramener l’âge d’or d’Hollywood», son ombre planera plus que jamais sur la 97e édition de la grand-messe du cinéma américain.