Remercié par le 98,5 FM: «D’un point de vue business, je ne la comprends pas» – Pierre-Yves McSween
Le Journal de Montréal
Aux yeux de Pierre-Yves McSween, la décision du 98.5 FM de rompre son contrat en était une très mauvaise d’un point de vue «business».
Le chroniqueur vedette, qui a annoncé en juillet dernier que son contrat avec la station avait été résilié, est revenu brièvement sur la fin de son association avec le 98,5 FM lors de son récent passage au balado de Marie-Claude Barrette, Ouvre ton jeu.
«On m’a fait quitter», a-t-il dit en toute franchise, soulignant que cette cession d’emploi s’était réellement conclue à l’amiable au sens où il l’entend.
«Ça veut dire que personne n’a claqué la porte, qu’il y a quelqu’un qui a décidé de mettre fin au contrat de part et d’autre, mais que les deux sont satisfaits des termes de fin. Moi, c’est comme ça que je lis à l’amiable. Ça ne veut pas dire que ça te tentait de mettre fin au contrat», a ajouté le comptable professionnel agréé (CPA), animateur et auteur de 45 ans.
«Dans Liberté 45, je dis que 45 ans c’est l’âge où tu peux dire non et que tu as assez de solidité pour avoir du pouvoir sur ta vie. Un moment donné, si on me met devant un faux dilemme où on me dit que je ne peux plus faire ce pour quoi on m’avait engagé... je veux dire... on a signé un contrat tous les deux... si tu ne peux plus le respecter, on va l’arrêter là», a-t-il poursuivi.
«La guerre, la guerre, c’est pas une raison pour se faire mal»... Il y a 40 ans, le public québécois craquait en entendant cette réplique pacifique savoureuse dans le film culte La guerre des tuques. Pour souligner le 40e anniversaire de sa sortie en salle, Le Journal revient sur la création et l’immense héritage de ce classique intemporel qui a marqué des générations d’enfants et d’adultes.
À l’été 2020, une vague de dénonciations avait emporté plusieurs artistes, dont Kevin Parent, qui avait alors été visé par des allégations d’inconduites sexuelles. Largué rapidement par son agence, le chanteur s’était excusé dans une vidéo s’il avait «fait de la peine à des gens», ajoutant qu’il allait payer ses dettes et essayer de s’améliorer comme être humain. Quatre ans plus tard, en entrevue avec Le Journal, Kevin Parent revient sur cette période trouble qui a chamboulé sa vie.